Vanessa Morisset

Docteure en histoire de l’art et critique d’art, Vanessa Morisset s’intéresse à peu près à tout, suivant un programme inspiré du « sortir de la philosophie par la philosophie » de Gilles Deleuze transposé à l’art. En tant qu’historienne, elle travaille sur les relations entre l’art et les autres domaines, notamment à travers les liens high and low entre art et culture populaire. Sa thèse portait sur Mimmo Rotella et ses décollages d’affiches de cinéma – westerns, péplums, films fantastiques et d’horreur – à Rome, autour de 1960.

Critique d’art, elle collabore régulièrement aux revues 02, esse et art press

Mais une réflexion mêlée d’amour fou pour l’écriture la conduit aussi à d’autres productions textuelles plus expérimentales, avec en tête la belle idée de Michel Leiris « c’est par la subjectivité (portée à son paroxysme) qu’on touche à l’objectivité ».

À l’ESAD, elle enseigne l’histoire des arts et la culture générale pour un aperçu