« Post-Face est une revue hybride, entre mode et société, établissant une critique du monde de la mode au travers du prisme de la politique. »
« Son nom découle directement de Postface – un journal critique de l’avant-garde de Dick Higgins, publié en 1964, s’inscrivant alors dans une volonté de rétrospective analytique des mouvements passés au sein du monde de la mode. Post-Face prend alors une année de retard, cessant de vouloir prédire les futurs tendances, et étudie les conséquences de celles déjà passées.
Le premier numéro est donc celui de l’année 2024, exposant comment l’extrême droite et le fascisme se sont emparés de la mode pour véhiculer leur idéologie, et comment la mode à ignoré ces idéaux discriminants au profit du business. Avec un système de republication d’articles issus de divers médias, une confrontation s’opère, soulignant les influences néfastes ou positives de la mode et de ses médias. Son format permet d’établir une double lecture, d’abord celle du texte critiqué par la première ouverture en A3, puis la lecture du ou des textes critiques, une fois l’objet déployé. À l’intérieur, le contenu se retrouve sous deux formes de chroniques. D’abord il y a celles qui restent constantes dans tous les numéros : le « Glossaire », listant les dernières grandes tendances qui ont amené à la création d’un nouveau vocabulaire, une chronique « Plastique » traitant des tendances beauté, une chronique « Apparence » sur le style et une chronique « Image » sur le lifestyle. Ensuite, la revue se termine sur des chroniques adaptées aux problématiques de l’année. Pour le numéro 1, on retrouve une rubrique « Économie », expliquant les rapports entre les médias, les milliardaires et les politiques, une rubrique « Géo-Politique », expliquant l’influence positive de l’industrie sur des conflits grave, notamment avec le keffieh palestinien et une rubrique « Insolite », relatant le scandale du Birkin de Walmart. »




