jusqu’au 28 avril 2025 : candidature pour une entrée en 2ème année ou en 4ème année
Modalités via le lien ci-dessous :
Modalités via le lien ci-dessous :
Chaque année, l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims se tourne vers vous – grandes, moyennes, petites entreprises, auto-entreprises, quelle que soit l’activité – pour vous engager à désigner l’ÉSAD comme bénéficiaire du solde de votre taxe d’apprentissage.
Plus que bienvenus, vos soutiens nourrissent le projet éducatif ambitieux d’une école publique* qui offre à ses étudiants (au nombre de 239 actuellement) l’accès à une formation d’excellence moyennant un engagement financier réduit : 700€/an en premier cycle, 900€/an en second cycle.
*Aujourd’hui, 6e au top 20 des meilleures écoles de design françaises par le Figaro étudiant (2025), 1re en tant qu’école publique territoriale hors Paris.
De nombreux projets dans les domaines de l’enseignement, des équipements pédagogiques et techniques, et de la recherche émergent grâce à vous.
Concrètement, sur l’année écoulée, 25 000 € de dons liés à cet impôt, par 20 entreprises, ont permis de financer de nouveaux outils de travail destinés aux ateliers de l’école : plieuse et cisaille à tôle, tour à bois, plusieurs vidéoprojecteurs, parc informatique, appareils photo.
Le seul impôt dont vous pouvez choisir l’affectation !
La taxe d’apprentissage est une taxe obligatoire versée annuellement auprès des services de l’Urssaf et de la MSA par toutes les entreprises soumises à l’Impôt sur le Revenu et par les sociétés ayant au moins un établissement en France et employant au moins un salarié.
Elle contribue à financer le développement de l’enseignement et des formations technologiques et professionnelles.
Le dispositif a pour particularité de laisser au contributeur la possibilité de choisir l’établissement d’enseignement qui sera bénéficiaire du solde (part secondaire) de la taxe d’apprentissage. Pour ce faire, ce dernier doit flécher, parmi une liste nationale, l’établissement de son choix sur la plateforme SOLTéA gérée par la Caisse des dépôts et consignation.
Avant la fin du 1er trimestre 2025, l’État publiera la liste officielle des établissements habilités à percevoir cette taxe et l’ÉSAD y figurera via les informations suivantes :
– Raison sociale : ECOLE SUPERIEURE D’ART ET DE DESIGN
– Sigle : ESAD
– SIRET : 20002737300014
– UAI : 0510084P
Dès l’ouverture de SOLTéA, vous pourrez sélectionner notre établissement et nous affecter votre taxe :
Un grand merci !
À VOIX BASSES est une exposition de l’Atelier de Recherches et Créations (ARC) INTERLUDE proposée par l’ÉSAD de Reims en partenariat avec Sonopopée et le département de Composition du Conservatoire à Rayonnement Régional (CRR) de Reims.
L’ARC Interlude a été initié en 2021 et propose aux étudiant·es de l’ÉSAD et du CRR de développer des projets sonores et musicaux transversaux. Chaque année deux événements sont programmés : d’une part par le CRR dans le cadre de la Semaine de la Création et d’autre part par l’ÉSAD dans le cadre d’une exposition hors les murs.
Cet événement se tiendra à la Petite Halle du 26 au 31 mars 2025.
Vernissage mercredi 26 mars, 18h30-22h30
53 rue Vernouillet, Reims
https://lapetitehalle.co/
Les étudiant·es et compositeur·rices présenteront des œuvres conçues spécifiquement pour cette exposition « À voix Basses » sous la forme de compositions sonores, de sculptures et d’installations sonores et vidéos. Lors de la soirée d’inauguration, un programme de performances et de lectures sera présenté.
Un projet encadré par Cécile le Talec (ÉSAD), André Serre-Milan (département de Composition CRR), Vivien Trelcat et Thomas Dupouy (Sonopopée)
La 1ère phase d’admissibilité pour le concours d’entrée pour une 1ère année 2025-26 est terminée
29 avril 2025 : Mise en ligne sur le site de l’ÉSAD de Reims de la liste des candidat.e.s admissibles qui devront se présenter aux épreuves d’admission -2ème phase
Concours d’entrée en 1ère année 2025-26
Résumé de ce que vous devez faire AVANT le mercredi 2 avril 2025 —- 23h59)
pour la 1ère étape du concours -l’admissibilité
Règlement des frais de concours :
Les frais d’inscription au concours s’élèvent à 55€ (pas d’exonération possible, non remboursable) à régler sur la plateforme Parcoursup avant le 02 avril 2025 (23h59 heure de Paris).
I – ADMISSIBILITÉ
L’épreuve d’admissibilité comprend une vidéo de présentation, une série de 4 questions et votre portfolio.
Présentez-vous dans une vidéo de 2 minutes maximum présentant au minimum 3 travaux personnels. (Style et ton libre, vous pouvez vous mettre en scène ou pas).
Montrez-nous votre univers : Soyez créatif ! Amusez-vous ! Surprenez-nous !
La vidéo doit être déposée sur la plateforme de vidéo en ligne YouTube.
Pensez à bien publier la vidéo en mode public (apparait sur votre chaine, consultable par tous) ou en mode Non répertorié (accessible uniquement par le lien que vous nous transmettez).
Vous devez ensuite insérer le lien actif de cette vidéo dans un fichier PDF de 5 Mo max.
(Bien vérifier que le lien soit cliquable dans votre fichier PDF).
Répondez à ces quatre questions (20 lignes maximum par question) :
– Qu’espérez-vous trouver à l’école ?
– Citez un sujet de société qui vous intéresse particulièrement et pourquoi ?
– Décrivez-nous au choix : une œuvre d’art, une architecture, un événement culturel ou un objet du quotidien qui a inspiré votre pratique.
– Quel est le dernier événement culturel auquel vous avez assisté ? Exprimez et développez votre point de vue personnel sur cet événement que vous l’ayez apprécié ou pas en précisant le titre de l’événement, la date et le lieu.
Le portfolio consiste en une sélection de vos projets artistiques réalisés dans un cadre personnel et/ou scolaire, représentatif de ce que vous savez faire, de ce que vous aimez faire : dessin, peinture, croquis, sculpture, volume, photographie, blog, carnets de recherches, vidéo, … (vous pouvez y ajouter des liens youtube CLIQUABLES pour renvoyer vers des vidéos).
Ces 3 fichiers PDF (lien de la vidéo, réponse aux questions et portfolio) doivent être nommés par votre Nom, Prénom et N°Parcoursup et déposés sur le lien suivant avant le mercredi 02 avril 2025 (23h59 heure de Paris) :
exemple : REIMS_Clovis_2512496
https://ganesh.esaddereims.fr/selection?sp=22&cs=1|1
Les fichiers ne respectant pas les formats demandés seront automatiquement refusés.
Cette journée d’étude interdisciplinaire franco-allemande est à l’initiative du département de Design graphique et numérique de l’ÉSAD de Reims, en partenariat avec le Cluster d’excellence Matters of Activity. Image Space Material / Humboldt-Universität zu Berlin, le Master Arts plastiques de l’Université Paris 8, le laboratoire Image Guidance Lab / Charité – Universitätsmedizin Berlin, le CHU de Reims. Avec le soutien du Ministère de la Culture / Coorganisée par Olaf Avenati et Patricia Ribault.
Voir l’invisible. Voir le cerveau, son anatomie, ses chemins fonctionnels, sa plasticité. Les méthodes non invasives d’observation et de description du cerveau – IRM, IRM fonctionnelle, tractographie, carte du connectome… – déploient des langages graphiques variés et autonomes, faisant de chaque type d’image un petit univers avec ses règles et ses modes de lecture propres.
Le projet BRAIN ROADS explore deux hypothèses. La première : un nouveau langage graphique peut permettre de mieux aligner les représentations avec le réel observé et les concepts qui décrivent la plasticité cérébrale. La deuxième : s’engager dans la mise en cohérence graphique des univers de représentation issus de l’imagerie médicale peut permettre à ces images de mieux cohabiter au sein d’outils d’exploration et de visualisation du jumeau numérique du cerveau.
Cette journée d’étude a pour ambition de mieux comprendre le rôle des images et leur adéquation au réel, analyser leurs modalités et leurs limites, après avoir observé leurs usages in situ, pour mieux comprendre la neuroplasticité, proposer de nouvelles formes graphiques, et ouvrir la conversation interdisciplinaire sur leur devenir.
Entrée libre, dans la limite des places disponibles.
Villa Douce, 9 boulevard de la Paix, 51100 Reims.
+ d’infos sur le programme de recherche de l’ÉSAD en Design graphique & numérique : entreformesetsignes.fr
Coorganisées par la Chaire Industrie, Design et Innovation Sociale (IDIS) de l’ÉSAD de Reims, le laboratoire REGARDS et l’UMR FARE INRAE de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Avec le soutien du réseau des établissements de l’Enseignement Supérieur et de Recherche Champardennais.
Ces journées d’étude proposent des rencontres entre experts en sciences environnementales, économiques, sociales et humaines, ainsi qu’en design et architecture afin d’explorer le sujet de la valorisation des arbres, du bois et de la forêt dans la région Grand Est. Une approche interdisciplinaire permettra de dresser, à diverses échelles, un panorama de ces matières vivantes et des manières dont elles sont mises en valeur sur le territoire. Les questions des enjeux actuels et des perspectives d’avenir seront illustrées et approfondies par la présentation de travaux menés récemment par différentes structures de recherche du Grand Est.
Entrée libre, sans inscription préalable.
Médiathèque Jean Falala, 2 rue des Fuseliers, 51100 Reims.
+ d’infos sur le programme de recherche de la Chaire IDIS de l’ÉSAD : chaire-idis.fr
L’ÉSAD de Reims, avec son Atelier de Recherche et Création Interlude*, participe à la Semaine de la Création du Conservatoire à Rayonnement Régional de Reims. En partenariat avec Césaré, Centre National de Création Musicale et CERULEUM, école d’arts visuels de Lausanne.
Autour du thème « (D)ÉCRIRE L’ESPACE » et en hommage à Pierre Schaeffer, père de la musique concrète et initiateur de l’INA (Institut National de l’Audiovisuel), trois rendez-vous communs sont proposés au conservatoire les mardi 21, mercredi 22 et jeudi 23 janvier.
Entrée libre. CRR de Reims, 20 rue Gambetta
Mardi 21 janvier
17h30 : « Pierre Schaeffer et le multimédia », conférence par Martin Laliberté, compositeur et musicologue. Auditorium 2
19h : En hommage aux 30 ans du bâtiment et de son architecture, le département de composition du CRR en partenariat avec les étudiant·e·s de l’ÉSAD inventent une installation avec des QR codes donnant à entendre des productions diverses du conservatoire en musique, danse et théâtre. Visite libre dans tout le bâtiment et/ou parcours accompagné par petits groupes.
Mercredi 22 janvier
19h : « Symphonie pour un homme multiple », spectacle multimédia-hommage à Pierre Schaeffer. Au programme : musique, danse, théâtre, arts plastiques dont le projet « Performance d’objets » d’Anaïs Karali, diplômée du Master Design objet & espace 2024 de l’ÉSAD, dans un dispositif sonore à 360° avec captations sonores et vidéo live, précédé d’un échange avec Jacqueline et Justine Schaeffer. Auditorium J. Murgier
Jeudi 23 janvier
19h : « (D)ÉCRIRE L’ESPACE », concert / spectacle conjuguant musique, théâtre, danse et arts plastiques. Auditorium J. Murgier
*L’ARC INTERLUDE de l’ÉSAD de Reims est un atelier de recherches, de créations et de productions sonores et radiophoniques, initié par Cécile Le Talec, artiste et enseignante à l’ÉSAD, qui s’est construit en collaboration avec le CRR de Reims – la classe de composition d’André Serre-Milan -, et Sonopopée, collectif rémois d’artistes musiciens et de chercheur de sons. Des étudiant·e·s de 3e, 4e et 5e année, options Art et Design, développent un travail de création sonore sous toutes les formes.
LUNDI 3 FÉVRIER, 18h-19h
Lancement de l’ouvrage EKES (EarthKeeping EarthShaking) n°02
Sonder les droits de la Terre
La collection EKES (EarthKeeping EarthShaking) en Art et Sciences sociales diffuse les recherches du programme éponyme, dirigées par Rozenn Canevet au sein du master Art de l’ÉSAD de Reims.
Second tome de la collection, cet ouvrage collectif propose un regard critique du statut juridique de la nature et explore la question des droits de la Terre à travers le prisme interdisciplinaire des humanités socio-environnementales en relation avec l’art d’aujourd’hui. La mise en regard d’entretiens, d’essais, de conférences d’artistes et chercheur•euses donne à voir les formes par lesquelles la création contemporaine s’exprime pour, par et avec le vivant terrestre sous la forme d’une approche graphique singulière assurée par Roxanne Anèse et Marjorie Catez, coordonnée par Brice Domingues et Kate Sowley.
EKES (EarthKeeping EarthShaking), n° 02 – Sonder les droits de la Terre
Avec les contributions de : Céline Savoye, Rozenn Canevet, Kristell Blache-Comte, Marine Calmet, Daria de Beauvais, Barbara Glowczewski, Kate Newby, asinnajaq, Léuli Eshrāghi, Hélène Bertin, Caroline Nussbaumer, aniara rodado, Charlotte Charbonnel, Irene Kopelman, Angelika Markul, Lou Favreau, Aliocha Imhoff, Kantuta Quirós
Durant cette soirée de lancement, une discussion avec l’équipe éditoriale sera proposée au public, en présence de :
M&R (Marjorie Catez et Roxanne Anèse) se sont rencontrées durant leurs études de design graphique et numérique à L’ÉSAD de Reims. C’est là qu’elles commencent à collaborer sur des supports de communication et divers projets éditoriaux. Ensemble, elles abordent les questions du séquençage, de la forme éditoriale ou encore de la porosité du design graphique avec d’autres disciplines. En 2024, elles travaillent ensemble à la conception de la maquette du second numéro de la revue en art et Sciences sociales EKES, accompagnées lors des premières étapes par Anne de Mauregard, rencontrée également à l’ÉSAD de Reims.
Rozenn Canevet Docteure en esthétique et critique d’art, elle enseigne la théorie et l’histoire de l’art à l’ÉSAD de Reims où elle dirige les programmes de recherche du master Art. Dans ce contexte, elle signe la direction de l’ouvrage Artist-Run Spaces Around and About (Les presses du réel, 2018). À partir de 2020, elle conçoit le programme de recherche EKES (EarthKeeping EarthShaking) sur les Écoféminisme(s), les droits de la Terre et les Vivacités écologiques dans l’art contemporain. Elle dirige sa collection éponyme en Art et Sciences sociales EKES (éd. ÉSAD de Reims, Les presses du réel, 2022-2024). Par ailleurs, elle intervient régulièrement à l’École nationale supérieure du paysage de Versailles depuis 2017.
Brice Domingues est designer graphique. En 2008, il crée le studio officeabc avec Catherine Guiral. Le studio a collaboré avec le Centre Pompidou Paris, le Credac, le Centre Pompidou Metz, le Printemps de Septembre, Les Laboratoires d’Aubervilliers et L’ENS Paris-Saclay entre autres. En 2011, il a co-fondé avec Catherine Guiral et Jérôme Dupeyrat, l’agence du doute et ont tous deux initié avec Thierry Chancogne la revue en ligne Tombolo. Il est également l’un des membres fondateurs de la plateforme de recherche Problemata. Il a été co-commissaire des expositions, «Des attentions» au Crédac en 2019 et «Crystal Maze IV 1+2+3=3» au Centre Pompidou en 2013. Il enseigne le design éditorial à l’ESAD de Reims et co-dirige le séminaire «le catalogue exposé» dans le master sciences et techniques de l’exposition à Paris 1 Panthéon-Sorbonne avec Catherine Guiral.
Lou Favreau Lou Favreau est une artiste diplômée du master de l’École d’art et de design de Reims depuis juin 2024. Sa pratique artistique prend forme par le médium vidéo essentiellement, mais aussi par la photographie ou l’installation sonore. Sa démarche vise à « prélever », par l’image et par le son, des éléments issus du réel, pour composer des scènes ou des situations qui relèvent de la fiction. De cette façon, son approche revisite la notion de documentaire et oriente ses récits vers les thématiques de l’actualité environnementale.
Kate Sowley a rejoint l’ÉSAD de Reims en tant que responsable de la recherche en 2023, après avoir travaillé de 2017 à 2022 à la direction des Presses universitaires de Strasbourg où elle a contribué à la création des collections « Historiographie de l’art », « Cultures visuelles », « Terre, environnement et soutenabilité » et « Savoirs collectés ». Docteur en histoire de l’art et spécialiste de la tapisserie, elle a enseigné à l’université McGill (Montréal, Québec), l’université de Strasbourg et à l’université Centre College (Danville, Kentucky).
En présence également de l’Institut EXEBIO, nouveau partenaire du programme de recherche EKES.
Hélène Lacroix est titulaire d’un PhD en Biologie Végétale à Imperial College London. De 2012 à 2021, elle a été en charge du pilotage administratif et financier de la Fédération CNRS de recherche en bioéconomie, la SFR Condorcet, portée par l’Université de Reims Champagne-Ardenne, et regroupant 700 chercheurs du Grand-Est, des Hauts-de-France et de Wallonie en Belgique dans le domaine de la bioéconomie. À partir de 2021, elle a été nommée directrice de développement du Pôle Agrosciences, Environnement, Biotechnologies et Bioéconomie de l’Université de Reims Champagne-Ardenne. Depuis 2024, elle est directrice de l’Institut International de Bioéconomie et Environnement – EXEBIO qui a pour objectif de déployer une politique ambitieuse pour une recherche d’excellence, la création d’une Graduate School européenne et de développer l’innovation et le partenariat avec le monde socio-économique.
Emmanuel Guillon est professeur de chimie environnementale à l’Université de Reims Champagne-Ardenne au sein de l’Institut de Chimie Moléculaire de Reims, ICMR UMR CNRS 7312. Il y développe des activités de recherche visant à comprendre le devenir de contaminants (métaux, pesticides, pharmaceutiques, microplastiques…) dans l’environnement (eaux, sols) selon une approche multi-échelle du moléculaire au macroscopique. Il est titulaire depuis 2023 de la Chaire Industrielle MERGE. Ses travaux ont donné lieu à environ 120 publications, ouvrages ou brevets. Il dirige depuis sa création en 2023 la Zone Atelier Environnementale Rurale Argonne, ZARG, infrastructure de recherche du CNRS. Depuis juin 2024, il est président de l’institut International en Bioéconomie et Environnement, EXEBIO, dont l’objectif est d’inscrire ses activités sur le continuum recherche-formation-innovation-international.
Entrée libre. FRAC Champagne-Ardenne, 1 place Museux, Reims
Ouvrage en vente en librairie, à l’ÉSAD de Reims et pour les professionnels du Livre en ligne sur le site des presses du réel
Depuis le 9 octobre dernier, les 64 étudiant.e.s de première année de l’ÉSAD de Reims suivent les cours d’histoire des arts de Laure Ménétrier, à la Médiathèque Jean-Falala.
Ce cycle de 8 cours magistraux, réparti sur deux semestres, est ouvert au public.
Laure Ménétrier est Directrice – Conservatrice du Musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale d’Épernay, et enseignante à l’ÉSAD de Reims.
Dates fixées au second semestre :
Les mercredis 29 janvier, 12 février, 26 février et 5 mars – de 10h30 à 12h.
PROGRAMME
Cycle portant sur les arts européens (Ve – début XXe siècles)
8 séances d’une durée d’1h30 chacune retraçant l’histoire des arts en Europe de l’époque médiévale au début du XXe siècle.
Chaque cours correspond à une grande période de l’histoire des arts et s’articule selon un même plan : introduction générale (contexte historique, références bibliographiques) suivie de la présentation de 10 objets/œuvres représentatifs de cette période.
Les objets sont choisis également afin de représenter une diversité des techniques de création (peinture, arts du feu, sculpture, arts graphiques, architecture…) et sont issus de diverses régions de l’Europe (essentiellement Europe occidentale).
Séance 1 – Introduction du cycle
Cette séance permet d’introduire diverses notions (définition de l’histoire des arts, pourquoi étudier l’histoire des arts pour un artiste, repères chronologiques et bibliographiques…) et d’expliquer la structuration des séances.
Séance 2 – Les arts médiévaux, de la chute de l’Empire romain à la chute de Constantinople
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : l’église San Vitale de Ravenne, le tympan du portail central de l’église Sainte-Madeleine de Vézelay, des émaux champlevés limousins, une enluminure des frères Limbourg.
Séance 3 – La Renaissance, des débuts florentins et flamands à l’apogée classique
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : David de Donatello, le Jugement dernier de Michel Ange, le tempietto de Bramante, le triptyque Portinari d’Hugo van der Goes.
Séance 4 – Des réactions maniéristes du XVIe siècle au Grand Siècle du Baroque et du Classicisme
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : une sculpture de l’école champenoise, une peinture de Caravage, une peinture de Poussin, le château de Versailles.
Séance 5 – Le XVIIIe siècle, le Siècle des Lumières
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Watteau, Fragonard, David, exemple d’architecture rococo.
Séance 6 – le XIXe siècle, siècle de la diversité artistique et stylistique
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Delacroix, Courbet, Rodin, l’Opéra Garnier, le Crystal palace.
Séance 7- La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle, le temps des avant-gardes
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Munch, Matisse, Picasso, Kandinsky, Le Corbusier.
Séance 8 – Conclusion du cycle
Cette conclusion proposera une présentation d’objets par discipline artistique afin de montrer l’évolution des techniques et des savoir-faire. Elle mettra aussi en avant les influences croisées entre grandes civilisations (civilisations antiques, chinoises, islamiques…) et entre générations d’artistes.
De l’art et du design à tous les étages !
C’est avec plaisir que l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims convie les publics à sa Journée Portes Ouvertes samedi 18 janvier 2025, de 10h à 18h, au 12 rue Libergier.
Visitez l’école en accès libre, ses salles de cours et ses ateliers de production. Découvrez les travaux des étudiant·e·s de la première année aux années master. Rencontrez et échangez avec les enseignant·e·s, les étudiant·e·s, les équipes administrative et technique de l’école.
Toutes les options et disciplines enseignées à l’école vous sont présentées : l’Art, le Design objet & espace, le Design graphique & numérique, et le Design & culinaire.
À année -1 de l’entrée dans la future ÉSAD
La rentrée 2025-2026 sera la dernière des sites Cathédrale et Franchet d’Espèrey. Dès l’année suivante, les étudiant·e·s de l’ÉSAD intègreront la nouvelle école aujourd’hui en construction dans le quartier en mutation du Port Colbert, à proximité immédiate des Magasins généraux et de la future Neoma Business School. Une transition heureuse pour une école en mouvement !
Trois réunions d’information,
Au 1er étage en salle 101 : à 10h30, ou à 14h15 ou à 16h15
L’équipe administrative et pédagogique vous propose ces réunions d’informations utiles relatives aux cursus diplômants de l’ÉSAD, sur les conditions et modalités d’accès au concours en 1re année, ainsi que sur les commissions d’équivalence pour une entrée en 2e ou 4e année.
Parmi les points saillants et particularités de cette JPO :
La future ÉSAD
La formation en alternance en master
La pédagogie et les partenariats de l’école
Les programmes de recherche et ateliers de recherche & création (ARC) de l’ÉSAD
L’exposition des Pratiques artistiques amateurs de l’ÉSAD (plus de 120 personnes suivent les cours du soir en dessin et peinture)
L’écosystème et l’initiative étudiant·e : les Bureau des Étudiant·e·s (BDE) et Bureau des Sports (BDS), le collectif Acrobates ou encore l’association la Sauce portée par le master design & culinaire
Le + à l’heure du déjeuner
La JPO de l’ÉSAD de Reims est réputée accueillante et joyeuse. En cuisine, la section Design & culinaire de l’école est à la manoeuvre pour vous permettre de vous restaurer sur place.
Vendredi 17 janvier : journée des classes
Dès le vendredi 17 janvier, l’ÉSAD propose un accueil spécifique, avec visite de l’établissement, aux écoles, lycées et prépas. Sur réservation.
Renseignements et inscription :
contact@esad-reims.fr / 03 26 89 42 70
À partir du portrait gravé de Charles Perrault présent dans les collections du Musée des Beaux-Arts de Reims, la question de la reproductibilité, le portrait officiel et sa réinterprétation furent abordées. La contemporanéité des contes de Charles Perrault fut le point de départ des recherches picturales.
Après une visite de l’Opéra de Reims, l’échelle et le choix du format des travaux enclenchèrent un long processus de maquettes et d’essais afin de s’approcher de l’idée de décor, à mi-chemin entre celui d’une pièce de théâtre et d’un livre illustré. Les étudiant·e·s ont alors choisi un des six contes les plus célèbres de Charles Perrault en y incluant une ou plusieurs versions de son portrait. Le public y découvre ou redécouvre Peau d’Âne, Barbe bleue, Les Fées, Le Petit Chaperon rouge, Cendrillon et Le Chat botté.
Deux autres peintures seront finalisées ultérieurement et reprendront les six contes avec une approche sérielle du motif, de la couleur et de la notion décorative de la peinture. Ces dernières seront peintes par les 13 étudiant·e·s. Elles seront livrées courant janvier 2025.
Techniques employées : acrylique, linogravure et sérigraphie sur toile
………………………….
Étudiant.e.s :
Mathieu BERNARD
Elane BOUTIER
Milo BUTTA
Fateme CHESHMI
Aeryn CORDONNIER
May LE GUEVEL-LOPEZ
Léa LEBLANC
Clémence LOTTIN
Pauline MUR-BONNEFOY
Sören NEEL
Charli TOROSSIAN
Jia-Ling WU
Salomé MATTLIN
Encadré·e·s par Jean-Michel HANNECART, artiste, enseignant à l’ÉSAD de Reims.
Que soient remerciés pour leur accompagnement et leur aide les équipes de l’Opéra de Reims, Jean WANSCHOOR, assistant territorial d’enseignement artistique du Pôle images de l’ÉSAD, Sophie RODERES, responsable de l’atelier moulage, céramique, sculpture et textile de l’ÉSAD, Constance DEHARO et Giulia TRASENTE, étudiantes à l’ÉSAD.
Photos de l’accrochage en cours d’installation
Les programmes de recherche « Continuum numérique » – du master design objet & espace – et « Brain Roads » – du master design graphique & numérique – de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims seront présentés dans le cadre des « Entretiens du nouveau monde industriel » sur le thème de la nouvelle écologie de l’industrie, les 18 et 19 décembre 2024, au Centre Pompidou.
Invités par Vincent Puig, directeur de l’Institut de Recherche et d’Innovation (IRI), Véronique Maire, designer, enseignante titulaire de la Chaire Industrie, Design et Innovation Sociale (IDIS) de l’ÉSAD, et Olaf Avenati, designer graphique et numérique, enseignant, directeur du programme de recherche Brain Roads, interviendront respectivement mercredi 18 décembre – session III, 16h30-19h – et jeudi 19 décembre – session VI, 17h-18h30.
Olaf Avenati sera accompagné de Pierre-Antoine Chardel, docteur en philosophie et sciences sociales, professeur à l’Institut Mines-Télécom Business School.
Session III du 18/12 : « Nouvelles Localités industrielles et production distribuée »
Il s’agira au cours de cette session de faire le lien entre localité, territoire et politiques industrielles. En quoi, les modes et processus de production initiés par les technologies et réseaux numériques créent de nouvelles singularités industrielles locales : FabLab, tiers lieux, ateliers distribués, ateliers franchisés … En quoi ces processus de production peuvent donner de nouveaux pouvoirs créatifs ou de nouvelles dépendances aux habitants et acteurs industriels d’un territoire ?
Session VI du 19/12 : « Gestion des données, communs numériques et rôle des standards dans la nouvelle écologie du numérique »
Comment le numérique, souvent pointé du doigt pour son impact environnemental à l’heure du fort développement des IA génératives, peut-il dessiner de nouveaux écosystèmes à même de mieux se réapproprier son « contexte » local et global ? Comment les standards ouverts et notamment le logiciel libre peuvent-ils constituer des espaces de capacitation, d’autonomie, d’invention et d’industrie ?
Programme complet des Entretiens du nouveau monde industriel :
http://enmi-conf.org
En partenariat avec la Fondation Maison des Sciences de l’Homme (FMSH), IMT Nord Europe, le Groupe Caisse des Dépôts Institut pour la recherche, Épokhè, NEST Networking Ecologically Smart Territories, Éditions Classiques Garnier.
Emmené·e·s par Sirine Djermani, Angéline Odobert, Jacques Seminel, Wonjei Oh, Camille Chasseray et Aerin Ollivier, les étudiant·e·s de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims se mobilisent. Entre galerie d’art et musée, le format ÉSAD S’EXPOSE est une carte blanche donnée à l’expression créative en même temps qu’une entreprise culturelle collective très formatrice pour nos jeunes artistes. Un projet porté de bout en bout par les étudiant·e·s : de la sélection des œuvres exposées à la scénographie, d’un atelier de sérigraphie* aux réjouissances d’un accueil chaleureux assuré par notre équipe d’étudiant·e·s médiateur·rice·s.
*Les étudiant·e·s invitent le public à apporter sac en textile ou t.shirt à sérigraphier. Des tote bags de leur création seront également proposés.
ESPACE D’ERLON, 53 place Drouet-d’Erlon – Reims
(rez-de-chaussée, face à l’escalator)
Vernissage vendredi 6 décembre, 18h30 (jusqu’à 22h)
Samedi 7 décembre, 10h-19h
Dimanche 8 décembre, 10h-16h
À raison de deux fois par an, ce rendez-vous est à l’initiative des étudiant·e·s qui ambitionnent de pérenniser année après année ce projet événementiel à la rencontre des publics.
Après la Salle Jadart de leur école (mars 2023), le centre commercial Espace d’Erlon (mai 2023, dans le cadre de La Nuit des musées), le local mis à disposition par l’Hôtel de la Paix place d’Erlon (décembre 2023) et La Galerie Parallèle (avril 2024, dans le cadre d’Ateliers d’artistes), L’ÉSAD S’EXPOSE a le plaisir de revenir à L’Espace d’Erlon.
L’ÉSAD adresse de vifs remerciements à Timotéo M’Panzu Menga, directeur de L’Espace d’Erlon, pour son accueil gracieux et enthousiaste.
Ce cycle de conférences s’inscrit dans la continuité des journées d’étude « Écoféminisme(s) et art contemporain » (2021), « Sonder la terre » (2022) ; « Vivacités écologiques » (2023).
En présence des intervenant·es Rébecca François, commissaire d’exposition et auteure, Michael Marder, professeur de recherche en philosophie, spécialiste de la philosophie environnementale, Thomas Quintaine, docteur et ingénieur en écologie, et Stéphane Verlet-Bottéro, commissaire d’exposition, artiste et ingénieur en environnement.
Modération : Rozenn Canevet, directrice du programme de recherche en art et sciences sociale EKES (EarthKeeping EarthShaking) du Master Art de l’ÉSAD
Programme en téléchargement ici
Les 64 étudiant.e.s de première année de l’ÉSAD de Reims suivront les cours d’histoire des arts de Laure Ménétrier, à partir du mercredi 9 octobre, à la Médiathèque Jean-Falala.
Ce cycle de 8 cours magistraux, réparti sur deux semestres, est ouvert au public.
Laure Ménétrier est Directrice – Conservatrice du Musée du vin de Champagne et d’Archéologie régionale d’Épernay, et enseignante à l’ÉSAD de Reims.
Dates fixées au premier semestre :
Les mercredis 9 octobre, 23 octobre, 13 novembre, 20 novembre, 4 décembre – de 10h30 à 12h.
PROGRAMME
Cycle portant sur les arts européens (Ve – début XXe siècles)
8 séances d’une durée d’1h30 chacune retraçant l’histoire des arts en Europe de l’époque médiévale au début du XXe siècle.
Chaque cours correspond à une grande période de l’histoire des arts et s’articule selon un même plan : introduction générale (contexte historique, références bibliographiques) suivie de la présentation de 10 objets/œuvres représentatifs de cette période.
Les objets sont choisis également afin de représenter une diversité des techniques de création (peinture, arts du feu, sculpture, arts graphiques, architecture…) et sont issus de diverses régions de l’Europe (essentiellement Europe occidentale).
Séance 1 – Introduction du cycle
Cette séance permet d’introduire diverses notions (définition de l’histoire des arts, pourquoi étudier l’histoire des arts pour un artiste, repères chronologiques et bibliographiques…) et d’expliquer la structuration des séances.
Séance 2 – Les arts médiévaux, de la chute de l’Empire romain à la chute de Constantinople
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : l’église San Vitale de Ravenne, le tympan du portail central de l’église Sainte-Madeleine de Vézelay, des émaux champlevés limousins, une enluminure des frères Limbourg.
Séance 3 – La Renaissance, des débuts florentins et flamands à l’apogée classique
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : David de Donatello, le Jugement dernier de Michel Ange, le tempietto de Bramante, le triptyque Portinari d’Hugo van der Goes.
Séance 4 – Des réactions maniéristes du XVIe siècle au Grand Siècle du Baroque et du Classicisme
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : une sculpture de l’école champenoise, une peinture de Caravage, une peinture de Poussin, le château de Versailles.
Séance 5 – Le XVIIIe siècle, le Siècle des Lumières
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Watteau, Fragonard, David, exemple d’architecture rococo.
Séance 6 – le XIXe siècle, siècle de la diversité artistique et stylistique
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Delacroix, Courbet, Rodin, l’Opéra Garnier, le Crystal palace.
Séance 7- La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle, le temps des avant-gardes
Quelques exemples d’objets/œuvres présentés : œuvres de Munch, Matisse, Picasso, Kandinsky, Le Corbusier.
Séance 8 – Conclusion du cycle
Cette conclusion proposera une présentation d’objets par discipline artistique afin de montrer l’évolution des techniques et des savoir-faire. Elle mettra aussi en avant les influences croisées entre grandes civilisations (civilisations antiques, chinoises, islamiques…) et entre générations d’artistes.
Les projets présentés ont été réalisés par des étudiant.e.s de 1re année (2023-2024), dans le cadre du cours de « Dessin technique – Représentation dans l’espace » dont l’enseignement est assuré par Anne Fressard et Raoul Sbaiz. Sur 50 projets, 21 ont été retenus, sélectionnés par les enseignant.e.s avec la direction du Musée Saint-Remi.
Sont exposés les travaux de :
David AMBROISE
Liam BASSING
Cassiopée CELEBRAT
Louise CESARINI
Mathilde CLAVIER
Marine CONCHON
Julie COUAILHAC
Noé DAGENEAU
Rachel GASSER
Anaïs GAUMY
Léa GETNER
Elsa GORGODIAN
Charlie HELME
Clémence LOTTIN
Daphnée NICOLAS
Maxence MARCHAND
Salomé MATTLIN
Martin REGNIER
Chloé RONCIN
Chiara TESSANNE
Inès THIRRIARD
Exposition Point Cardinal IV
Sous forme d’affichage le long des quais du canal et sur le parvis de la gare de Mulhouse, l’exposition présente plus de 80 affiches de photographies d’étudiant.e.s des écoles supérieures d’art du Grand Est (ÉSAL Metz et Épinal, ENSAD Nancy, ÉSAD de Reims, HEAR Mulhouse-Strasbourg). Au cours de l’année passée, ces étudiant.e.s avec leurs professeur.e.s respectif.ve.s ont travaillé à partir de la thématique de la Biennale de la Photographie de Mulhouse 2024, Mondes impossibles.
En accès libre, 24h/24
Cette année, les jeunes talents investissent leur école, offrant une scénographie ingénieuse à leurs créations. Un rendez-vous auquel sont conviés les publics de tous âges du 13 au 24 septembre.
Découvrez les projets de diplôme qu’ils.elles ont soutenus face à leur jury en juin dernier, à l’issue des cinq années d’études que requiert le Diplôme National d’Expression Plastique (DNSEP) : cinq années de réflexion, de recherche, de développement de projets abordant tous les domaines de création et tous les matériaux, et dont les projets de diplôme sont les fruits portés à maturité.
L’exposition « Archi brut » présente les dessins grands formats des étudiant.e.s de première année (groupe A et C, 2023-2024), inspirés par l’architecture brutaliste du bâtiment de la Comédie – Centre dramatique national de Reims, construit en 1966 par Jean Le Couteur.
Projet encadré par Lise Terdjman, artiste et professeur de dessin à l’ÉSAD de Reims.
Comédie – Centre dramatique national de Reims
3 chaussée Bocquaine – Reims
Accès
Projet CONTINUUM NUMÉRIQUE – FILIÈRE BOIS
La région Grand Est est l’une des régions françaises les plus boisées, avec environ un tiers de sa surface recouvert de forêts. Les feuillus – hêtre et chêne – dominent très largement (79%), tandis que les résineux – sapin et épicéa – occupent les zones de moyenne montagne (21%), notamment les Vosges, premier département producteur de bois de qualité. La filière y est donc très active et cherche constamment des moyens de se développer tout en ayant une approche raisonnée de la récolte et de la transformation de la ressource bois.
Le Centre Régional d’Innovation et de Transfert de Technologie pour les industries du Bois (CRITT Bois) a associé la Chaire IDIS et les étudiants du master design objet de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims à un programme de recherche intitulé Continuum numérique, dont l’objectif est la création, avec et pour les entreprises, d’un réseau de partenaires industriels connectés et organisés grâce à un outil numérique de type plateforme web. Celui-ci vise à faciliter, piloter et valoriser l’innovation et l’industrialisation du bois dans le domaine de l’agencement, l’ameublement et le design, en mode B to B. L’un des enjeux est de favoriser l’utilisation des outils à commande numérique déjà présents sur le territoire.
Notre mission consiste à tester la mise en réseau des acteurs de la filière bois autour d’outils numériques et de productions ciblées en circuit court avec une démarche d’éco-conception. Il s’agira de comprendre un secteur productif, celui du mobilier vosgien et plus largement la filière bois, qui souhaite se redynamiser autour des nouvelles technologies.
Plusieurs temps de co-conception avec les étudiants de l’École nationale supérieure des technologies et industries du bois (ENSTIB) ont ponctué ce projet, permettant aux designers en devenir d’acquérir une culture commune mise au service des propositions de design et de leur optimisation (temps et coût production / coût et quantité matières premières / nombre de pièces en kit / temps montage).
Exposition du 5 au 9 septembre 2024
dans le cadre de Paris Design Week
Galerie Joseph
116 rue de Turenne
75004 Paris
Du jeudi au dimanche, de 11h à 19h.
Lundi 9 septembre, de 11h à 18h
Vernissage public : samedi 7 septembre, de 19h à 23h
À découvrir au Trésor, du 2 juillet au 2 août 2024.
Vernissage public vendredi 28 juin, à 18h30.
Un trésor rassemble à sa manière des « choses » mais, dans l’acception la plus générale, le mot sous-entend que ce sont des « choses » précieuses.
Elles sont considérées comme telles à la fois pour leur valeur symbolique, mémorielle, vénale ou artistique et tout autant pour leur rareté ou leur étrangeté qui en font alors tout le prix.
Mais un trésor peut être aussi indicible, invisible, inaudible ou intouchable.
De l’ordre de l’immatériel à l’instar des Trésors humains vivants, personnes qui possèdent et portent à un haut niveau les connaissances et savoir-faire pour interpréter ou recréer des éléments spécifiques du patrimoine culturel immatériel de l’humanité.
À leur manière, les artistes et la plupart des œuvres qu’ils produisent peuvent être considérées comme des trésors : trésors du regard, de la sensibilité et de l’intelligence.
C’est ainsi que Cécile Le Talec, Manuela Marques et Jean-Michel Hannecart, professeurs en Art à l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims, ont proposé aux étudiants des 2 et 3 année option Art un enseignement prospectif autour de cette mystérieuse idée de « trésor ».
Les étudiants ont produit des projets pour l’exposition THESAURUS dans les différents ateliers de leur école – photographie, gravure, son, volume – projets qui avaient pour contrainte la reproductibilité et pour finalité d’intégrer une malle-valise mobile. Une trentaine de projets ont ainsi été réalisés et se déploieront dans l’espace d’exposition du Trésor.
Cette proposition n’est pas sans rappeler la valise que conçut Marcel Duchamp entre 1936 et 1942, une sorte de musée portatif dont il disait : « Tout ce que j’ai fait d’important pourrait tenir dans une petite valise ».
Exposition proposée par l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims en partenariat avec Le Trésor, Reims.
Projet pédagogique accompagné par l’équipe enseignante de l’ÉSAD et Hélène Ségal, relieuse d’art.
Depuis 2019, la chaire IDIS (Industrie, Design et Innovation Sociale), laboratoire de recherche en design de l’ÉSAD de Reims, s’intéresse aux écosystèmes spécifiques des Parcs naturels régionaux – notamment de la Montagne de Reims et des Ballons des Vosges – dont la vocation est de protéger et valoriser le patrimoine naturel, culturel et humain de leur territoire. La chaire IDIS mène un important travail de recherche appliquée autour de la filière bois à travers le Grand Est et les Vosges, en collaboration avec de nombreux acteurs de la transition écologique et ceux qui contribuent à l’attractivité de leur territoire.
7 PIÈCES DE DESIGN ICONIQUES EN BOIS ET GRANIT
C’est dans ce cadre que les (désormais ex-)étudiants de l’ÉSAD, avec les entreprises vosgiennes – Scierie Mathieu à Xonrupt-Longemer, Graniterie Petitjean, Menuiserie & Agencement Gérard et Menuiserie Vaxelaire à la Bresse –, ont mis au point leurs projets destinés aux collectivités, à l’habitat privé et à l’hôtellerie. Avant cette étape décisive – leur commercialisation aujourd’hui –, ces pièces ont été sélectionnées par Paris Design Week et présentées lors de ce rendez-vous incontournable du design contemporain.
Une partie de ce mobilier sera exposée (proposée à la vente) du 11 juin au 9 juillet dans le magasin FLY d’ÉPINAL : Parc économique Le Saut le Cerf, 30 rue de la Bazaine, 88000 Épinal.
Pour tous renseignements / commande de pièces (possible après le 9 juillet, avec mise à disposition de la grille tarifaire), se reporter à la plateforme en ligne du Parc naturel régional des Ballons des Vosges.
Bravo aux jeunes designers, diplômés du Master design objet de l’ÉSAD :
Théo Charasse
Marcelline Cury
Juliette Génaud
Leelou Guével-Balbusquier
Tess Lignon
Jonas Odetto
Quentin Ribeiro
Alexis Thebaud
À leur enseignante Véronique Maire, designer, titulaire de la chaire IDIS
Merci au Parc naturel régional des Ballons des Vosges, aux entreprises partenaires, ainsi qu’à l’enseigne de mobilier FLY.
À propos de la Chaire IDIS de l’ÉSAD de Reims
Inaugurée en 2015 et intitulée Industrie, Design et Innovation Sociale (IDIS), la première Chaire de design créée dans une école supérieure d’art française – l’ÉSAD de Reims – est une plateforme créative régionale. Portée par Véronique Maire, designer, elle associe de façon inédite, à l’échelle du territoire, des structures de recherche universitaires, des acteurs de la production – PME, industries et artisans -, des réseaux associatifs et citoyens qu’elle nourrit de la culture et méthodologie du design.
La recherche est centrée sur la pratique et veut faire émerger des usages nouveaux, permettre la création d’objets industriels ou artisanaux renouvelés, et repenser plus largement l’activité de production en Région.
Soutenez la formation des étudiant.e.s d’aujourd’hui, créateur.rice.s de demain, en choisissant l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims comme bénéficiaire du solde de votre taxe d’apprentissage.
Une démarche à entreprendre sur la plateforme SOLTÉA, à partir du 27 mai 2024.
https://www.soltea.education.gouv.fr/espace-public/soltea-plateforme-employeurs-solde-taxe-apprentissage
Qu’est-ce que la taxe d’apprentissage ?
La taxe d’apprentissage est une taxe obligatoire versée annuellement auprès des services de l’Urssaf et de la MSA par toutes les entreprises soumises à l’Impôt sur le Revenu et par les sociétés ayant au moins un établissement en France et employant au moins un salarié.
Elle contribue à financer le développement de l’enseignement et des formations technologiques et professionnelles.
Le dispositif a pour particularité de laisser au contributeur la possibilité de choisir l’établissement d’enseignement qui sera bénéficiaire du solde (part secondaire) de la taxe d’apprentissage. Pour ce faire, ce dernier doit « flécher », parmi une liste nationale, l’établissement de son choix sur la plateforme SOLTéa gérée par la Caisse des dépôts et consignation : soltea.education.gouv.fr.
La campagne de collecte a lieu chaque année, à partir du mois de mai (généralement prolongée jusqu’à l’automne).
Pour quels projets ?
Ces soutiens sont essentiels à l’école. Ils permettent de financer de nombreux projets dans les domaines de l’enseignement, des équipements pédagogiques et techniques, et de la recherche…
Concrètement, sur l’année écoulée, 16 000 euros de don liés à cet impôt ont permis de financer de nouveaux outils de travail destinés aux ateliers modelage/céramique, textile et photo/vidéo :
♦ l’achat d’un four céramique (7 000 €)
♦ l’achat de machines à coudre (1 500 €)
♦ l’achat d’un équipement audiovisuel, caméras numériques (7 000 €)
ÉSAD / Statut juridique et sources de financement
L’ÉSAD de Reims est un établissement d’enseignement supérieur public, à but non lucratif, au service de la formation de jeunes artistes et designers. Elle porte une mission d’intérêt général à caractère éducatif, scientifique et culturel, concourant à l’émergence de talents et à la mise en valeur d’un patrimoine artistique contemporain. Son statut est celui d’un Établissement Public de Coopération Culturel dont les membres fondateurs (Grand Reims, Ville de Reims, État, Région Grand Est, Université Reims Champagne Ardenne) assurent la gestion et l’assise financière.
Elle fédère des partenaires publics et privés (institutionnels, culturels, scientifiques, économiques) dont l’investissement, quelle qu’en soit la nature (financier, en nature ou compétences), contribue avec force à la vie de l’école à travers sa pédagogie, ses équipements, ses activités (séjours étudiants, activités de Recherche, expositions, conférences, publications, soutien à l’insertion professionnelle…). Essentiels, ces partenariats nourrissent le projet éducatif ambitieux d’une école publique qui offre à ses étudiants l’accès à une formation d’excellence moyennant un engagement financier réduit : 700 €/an en premier cycle, 900 €/an en second cycle.
Un immense merci à nos partenaires et soutiens !
Présentée par l’Atelier de Recherche et Création (ARC) de Manuela Marques et Jean-Michel Hannecart – artistes et enseignants à l’ÉSAD –, en partenariat avec la Société des Amis du Vieux Reims, cette exposition magnifie l’image et la déploie en grand format dans les jardins du musée. 14 étudiants de troisième et quatrième année options Art, Design objet & espace et Design graphique & numérique ont puisé dans les archives photographiques d’Hugues Krafft (1853-1935) matière à expérimentations et réinterprétations contemporaines.
Croisant les pratiques – dessin, gravure, photographie, outil de création numérique –, nos jeunes talents ont investi, redonné vie et réinventé les images de ce formidable passeur d’images et photographe-voyageur qui légua à la Société des Amis du Vieux Reims – qu’il avait fondée en 1909 – son hôtel particulier et ses collections ethnographiques.
Détours… et transversalité
À l’ÉSAD de Reims, l’approche pédagogique conjugue expérimentation, diversité des formats d’enseignement, transdisciplinarité et transversalité entre options – Art, Design objet & espace, Design graphique & numérique et Design & culinaire – qui sont des leviers importants de créativité. Cette dynamique permet aux étudiants de ne pas s’enfermer dans un domaine de spécialisation en leur faisant découvrir des approches complémentaires. L’ambition de cet apprentissage : maîtriser et/ou savoir convoquer plusieurs disciplines à travers un même objet ou sujet d’étude. Pour Détours, plusieurs disciplines du champ d’expérimentation de l’image ont été privilégiées : la photographie – l’image qui passe par le regard – et la peinture, le dessin et la gravure – l’image qui passe par la main.
Déconstruire, détourer, pour créer
Comment la peinture, qui en un siècle et demi a été bouleversé par l’image photographique, prend-t-il part au réel induit par la captation photographique ? Refusant toute hiérarchie entre les deux médiums, la démarche menée par les étudiants au sein de l’ARC a consisté à tisser des liens étroits entre dessin et photographie, pour créer une forme innovante. Partant du fonds photographique d’Hugues Krafft (images de ses nombreux voyages notamment en Asie), il a fallu déconstruire, mettre à jour l’enjeu de ces images qui attestent d’un monde révolu – comprendre ce qui se joue à travers ces archives –, pour ensuite construire par le travail artistique une nouvelle vision contemporaine. C’est en s’appropriant ces archives photographiques que ces étudiants ont pu opérer un déplacement stylistique et graphique significatif qui retranscrive leur regard, à l’aune d’un bagage culturel et de médiums artistiques actuels. Voyager de nouveau sur d’autres chemins, dans une autre temporalité, où la notion de distance géographique et territoriale, et bien évidemment l’utilisation du medium photographique ont totalement évolué. Ce n’est pas un chemin virtuel, mais celui d’une matière graphique, photographique et plastique que cette exposition vous propose d’emprunter, d’hier à aujourd’hui.
Le legs d’Hugues Krafft
L’Hôtel Le Vergeur est construit à partir du 13e siècle, dans un quartier peuplé de riches négociants. L’édifice appartenait au 16esiècle à Nicolas Le Vergeur, bourgeois rémois qui le transforme et lui donne les caractéristiques d’un hôtel particulier aux façades intérieures Renaissance disposées autour d’une cour. Son propriétaire Hugues Krafft (1853-1935) a rapporté de ses voyages à travers le monde un grand nombre d’objets, vêtements et plaques photographiques constituant un bel ensemble ethnographique. À sa mort, ses riches collections de mobilier et d’objets d’art ont constitué le cœur du musée-hôtel Le Vergeur, qui offre aujourd’hui une immersion remarquable dans un intérieur bourgeois du 18e au début du 20e siècle. Les collections appartenant à la Société des Amis du Vieux Reims se sont enrichies chaque année grâce à la générosité de nombreux donateurs, notamment des séries complètes et originales des gravures de L’Apocalypse et de La Grande Passion d’Albrecht Dürer.
Jardin du musée-hôtel Le Vergeur, Maison Hugues Krafft
en libre accès du mardi au dimanche, de 10h à 18h (fermé le lundi)
Vernissage public de l’exposition Détours
Jeudi 13 juin, 18h
Exposition en cours au musée-hôtel Le Vergeur
« Le Japon dans la peau. Langage du corps tatoué »
Du 1er juin au 13 octobre 2024
MUSÉE-HÔTEL LE VERGEUR – MAISON HUGUES KRAFFT
36 place du Forum – 51100 Reims
Tél. standard : 03 26 35 61 95
L’ÉSAD de Reims adresse de chaleureux remerciements à ses partenaires Ville de Reims et Société des Amis du Vieux Reims sans lesquels ce projet n’aurait pu voir le jour.
La Galerie Parallèle, partenaire de l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims, donne carte blanche aux étudiants de l’ÉSAD et met à disposition – gracieusement – ses espaces et savoir-faire ! Une très belle et heureuse opportunité pour ces jeunes talents qui n’ont pas encore d’ateliers où exposer leurs créations et recevoir du public. C’est donc avec une immense joie qu’ils convient les publics de tous âges à découvrir à la Galerie Parallèle leurs récentes productions dans les champs de l’Art, du Design objet & espace, Design graphique & numérique, Design & culinaire. Présents la durée de la manifestation, ils vous accueillent aux côtés des équipes de la galerie et vous réservent des surprises. Un projet porté de bout en bout : de la sélection des œuvres exposées à la scénographie, d’un bar éphémère estampillé design & culinaire à l’organisation d’une vente aux enchères, en passant par celle d’une performance pour laquelle certains sont appelés à se relayer. Un atelier complet d’artistes émergents se révélant dans le portage d’une entreprise culturelle collective très enthousiaste et professionnelle !
UN VERNISSAGE PAS COMME LES AUTRES
Le vernissage a pour originalité de proposer une vente aux enchères, bénévolement orchestrée par la Maison Chativesle.
Dans une ambiance bon enfant sont proposées plus d’une vingtaine de pièces, en exposition à partir de 18h30, soumises aux adjudications à partir de 20h.
Dès 18h30, vendredi, et durant tout le week-end, les étudiants de l’ÉSAD tiennent un atelier sérigraphie. Les publics sont invités à apporter sacs ou t. shirts en textile à sérigraphier…
Pour le reste, laissez-vous embarquer : plus de 50 œuvres exposées tout le week-end, la médiation des jeunes talents pour vous accueillir…
ILS LEUR ONT FAIT CONFIANCE
L’ÉSAD S’EXPOSE est à l’initiative des étudiants qui ambitionnent de pérenniser année après année ce projet événementiel très formateur, à la rencontre des publics.
Pour cette nouvelle édition, Sirine Djermani, Angéline Odobert, Guillaume Cez, Jacques Seminel, Wonjei Oh, Camille Chasseray, Aerin Ollivier, Louanne Uhring prennent le relais de leurs « aînés » Agathe Wcislo, Charles Defente et Lucas Poncin, entraînant à leur suite toute leur école, des étudiants de toutes options, de la première à la cinquième année !
Après la Salle Jadart de leur école (mars 2023), le centre commercial Espace d’Erlon (mai 2023, dans le cadre de La Nuit des musées), le local mis à disposition par l’Hôtel de la Paix place d’Erlon (décembre 2023), les étudiants investissent La Galerie Parallèle.
L’ÉSAD adresse de vifs remerciements à Matthias Philippe-Monteil, fondateur de la DP Gallery / Galerie Parallèle, et Alban Gillet, commissaire-priseur, pour leur implication dans le projet de cette édition.
La Galerie Parallèle
4 passage Talleyrand – Reims
Vendredi 12 avril, dès 18h30
Samedi 13 avril, 10h-19h
Dimanche 14 avril, 10h-17h
En accès libre
Pour sa quatrième saison, le programme de recherches EKES (EarthKeeping EarthShaking) choisit de poursuivre la thématique des « Vivacités écologiques » initiée en 2023.
À l’occasion des deux journées d’étude programmées au printemps et à l’automne 2024, nous nous intéresserons plus précisément au concept de féralité. Équivalent du terme anglo saxon feral, il désigne un retour à l’état sauvage, une sorte de « dédomestication » des animaux ou des plantes cultivées.
Cette notion se transforme en concept novateur dans le champ des sciences humaines et sociales lorsqu’en 2021, Stanford University Press publie la plateforme numérique Feral Atlas : The More-Than-Human Anthropocene* sous la direction d’Anna Lowenhaupt Tsing, anthropologue de l’environnement, notamment. Dans ce contexte, feral énonce la capacité, l’agentivité de certaines entités à proliférer au coeur d’infrastructures qui leur sont hostiles, soit de par les relations économiques, sociales ou humaines, soit de par le type d’activités (industrielles, déforestation, etc.) qui s’y déploient.
Ce concept semble trouver aujourd’hui un écho sensible dans nombre de pratiques et réflexions qui considèrent les entités proliférantes de nos milieux de vies avec un art de l’attention soutenue (arts of noticing**). Souvent inscrites dans des milieux anthropisés, elles observent, remarquent, relèvent, et donnent à voir les indices d’une écologie de relations interspécifiques qui sont désormais les nôtres, humaines comme non-humaines.
Les espèces végétales en témoignent abondamment. Leurs potentiels de régénérescence – leurs capacités à éclore et à subsister, comme celui d’assurer leur renouvellement malgré leur précarisation – énoncent pleinement leurs conditions férales, leurs vivacités écologiques. On s’intéressera ainsi aux formes d’expressions par l’art contemporain qui enquêtent sur ces terrains, traitent de ces entités férales en les considérant avec attention, en les remarquant. À celles et ceux qui en inventorient et en figurent les qualités comme les particularités.
* Tsing, Anna Lowenhaupt, et al., éditeurs. Feral Atlas. The More-than-Human Anthropocene. Stanford University Press, 2020. Open WorldCat, http://feralatlas.org.
** Tsing, Anna Lowenhaupt. Le Champignon de la fin du monde. Sur la possibilité de vivre dans les ruines du capitalisme, trad. Philippe
À propos d’EKES
EKES (EarthKeeping EarthShaking) est un programme de recherche corollaire au Master Art de l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims inauguré en 2020-2021. Il est dirigé par Rozenn Canevet, professeure en théories et histoire de l’art.
Les recherches au sein d’EKES s’établissent dans une approche interdisciplinaire entre théories et pratiques de l’art, sciences humaines et sociales (dont sciences politiques et environnementales), capable de nourrir et d’éclairer les enjeux sociétaux et environnementaux actuels, gravitant autour du champ de l’art contemporain.
Le format hybride de ce programme, entre pratique et théorie, permet à une recherche académique et à une recherche-création la possibilité d’apports mutuels. Ainsi, dans une collaboration entre chercheur·euses des sciences humaines et sociales, artistes, curateur·rices, enseignant·es et étudiant·es des écoles d’art, le programme EKES vise à élaborer des temps de partage et de dialogue communs, pour explorer et participer à un champ de recherche structuré en trois volets : « Écoféminismes et art contemporain » (2021) ; « Sonder la terre » (2022) ; « Vivacités écologiques » (2023-2024).
Ces deux journées d’étude se dérouleront le 29 mars 2024 à l’École nationale supérieure de paysage de Versailles-Marseille (ENSPV-M) puis le 22 novembre 2024 à l’ÉSAD de Reims.
Intervenant.e.s :
Rozenn Canevet, introduction
François Génot, « Parmi les vivants / Un art féral »
Meredith Root-Bernstein, « La féralité : vers une resocialisation inter-espèces ? »
Elvia Teotski, « Échappées férales »
Du samedi 30 mars au dimanche 28 avril 2024, l’exposition du concours Céramix, 6e édition, se tient au musée Saint-Remi. Quinze projets de céramique réalisés par les étudiant.e.s de l’École Supérieure d’Art et de Design de Reims (ÉSAD) sont présentés avec pour thématique commune ou défi lancé cette année : « Dessiner et réaliser le vide ». Trois de ces projets se verront distingués par le jury du Prix Céramix lors du vernissage de cette exposition vendredi 29 mars, à 18h, au musée Saint-Remi, auquel l’ÉSAD de Reims, avec ses partenaires, est heureuse de convier les publics de tous âges.
À propos du concours
Crée en 2017, le concours Céramix est ouvert aux étudiant.e.s de 3e année option Design objet & espace de l’ÉSAD. Dans cette démarche, ils.elles sont accompagné.e.s par leurs enseignant.e.s.
La participation est individuelle.
Élaborés sur plusieurs mois, les projets des candidat.e.s font l’objet d’une présélection. À l’issue, une quinzaine de projets est retenue en vue d’être exposée au public.
Le jury chargé de distinguer les 3 lauréat.e.s le jour du vernissage est composé de personnalités du monde des arts et de l’entreprise parmi lesquel.le.s les représentant.e.s du club d’entreprises mécènes PRISME.
À propos de PRISME
Association rémoise créée en 1989, aujourd’hui présidée par Didier Janot, PRISME regroupe une trentaine d’entreprises qui soutient l’art contemporain et la réalisation d’oeuvres d’art public sur le territoire de Reims et du Grand Reims.
Grâce à la générosité de PRISME, les trois lauréat.e.s du concours Céramix recevront chacun.e une dotation en soutien à leurs activités et jeune carrière.
1er prix d’une valeur de 1500 €
2e prix d’une valeur de 1000 €
3e prix d’une valeur de 500 €
Composition du jury 2024
Didier Janot, président de PRISME
Xavier Lamé, membre de PRISME
Joachim Jirou-Najou, designer
Céline Savoye, directrice de l’ÉSAD de Reims
Véronique Pintelon, responsable des études à l’ÉSAD de Reims
Candidat.e.s concourant au Prix Céramix #6
Alice Bambrzak – 2 ème prix
Iman Barriol
Pierre Belin
Louis Cartal
Charles Defente
Jade Gautier
Apolline Genty
Reine Hervé
Arthur Karcenty – 3ème prix ex aequo
Marion Malard
Pierre Mauclère
Enguerran Millière – 3ème prix ex aequo
Elisa Slama
Manon Thévignot – 1er PRIX
Agathe Wcislo
Enseignants encadrants
Nicolas Aïello, artiste
Jean-Paul Augry, designer
Renaud Thiry, designer
Avec l’accompagnement de Baptiste Sevin, designer-plasticien
Le catalogue Mobilier – sapin & granit marque l’aboutissement de trois années de recherche en design avec le Parc Naturel Régional (PNR) des Ballons des Vosges.
Un projet de la chaire IDIS-Industrie, Design et Innovation Sociale de l’ÉSAD de Reims, mené avec les étudiant.e.s du master Design objet & espace et les entreprises du Parc.
Le propos :
La chaire IDIS, laboratoire de recherche en design de l’ÉSAD de Reims, collabore avec le PNR des Ballons des Vosges, qui soutient fortement sa filière bois. Cette dernière tient une place importante sur le territoire, dont deux tiers sont couverts de forêts. La filière relève des enjeux économiques, environnementaux et sociétaux, et a la particularité d’avoir des emplois non délocalisables. Mais elle doit par ailleurs constamment se réinventer en faisant face notamment à une crise sanitaire liée aux dérèglements climatiques.
Depuis quelques années, les Parcs naturels régionaux ont créé la marque Valeurs Parc naturel régional, qui valorise les ressources naturelles et culturelles propres à chaque territoire. Elle est attribuée à des entreprises qui partagent avec le Parc l’attachement au territoire, la préservation de l’environnement et se préoccupent du bien-être de leurs salariés, des habitants et des visiteurs.
C’est dans ce contexte que s’inscrit le projet de recherche avec la filière bois et les bénéficiaires de la marque Valeurs Parc naturel régional. La chaire IDIS, les étudiants et les étudiantes du master Design objet & espace ont été à la rencontre des acteurs du métier, sylviculteurs, transformateurs, médiateurs, formateurs et chercheurs afin de découvrir leurs atouts et de définir ensemble de nouvelles voies de production. Les propositions questionnent ici les usages en forêt, les économies de production et la revalorisation des ressources locales : le sapin et le granit.
Partenaires :
PNR des Ballons des Vosges, Munster
FIBOIS Grand Est, Heillecourt
ONF, Epinal
Scierie Jean Mathieu, Xonrupt-Longemer
Menuiserie Vaxelaire, La Bresse
Gerard Menuiserie & Agencement, La Bresse
Graniterie Petitjean, La Bresse
Lycée Professionnel Camille Claudel, Remiremont
Camping Verte Vallée, Xonrupt-Longemer
La démarche se poursuit à travers le projet Continuum numérique.
+ d’infos sur le site de la chaire IDIS
À partir du texte d’Anton Tchekhov, les étudiant.e.s de 2e année Design objet & espace proposent leur interprétation des enjeux de la pièce : motifs de l’écologie et du rapport au temps, rêves de nouveaux liens sociaux… L’occasion pour elles et eux d’investir le hall de la Comédie de leurs propositions visuelles, pour inventer de nouveaux récits.
Du 11 au 29 mars – en accès libre
À La Comédie, Centre dramatique national de Reims
3 chaussée Bocquaine – Reims
Entrée libre
26e édition cette année, la Semaine folle de l’ÉSAD de Reims revient pour notre plus grande joie… que nous espérons vous faire partager !
14 artistes invité.e.s embarquent les étudiant.e.s dans des univers créatifs singuliers durant quatre jours intenses de workshops. Répartis par groupe de vingt au sein des ateliers, les 210 étudiant.e.s de toutes années et options confondues sont entraîné.e.s dans une dynamique de création forte en un temps limité. La Semaine folle à l’ÉSAD se veut hors normes, hors cadres, synonyme de liberté artistique, d’éveil ou de confrontation à des approches et techniques artistiques différentes. Les étudiant.e.s explorent les marges, sortent de leurs territoires, pour enrichir leur réflexion et leur pratique.
Une semaine-clé, inspirante et joyeuse avec, pour cette édition 2024, carte blanche et place au spectacle ! Beaucoup de fièr.e.s représentant.e.s du spectacle vivant occupent – en effet – une place importante dans cette programmation. Après une interruption forcée, enclenchée par la crise sanitaire (dernière édition en 2019), les retrouvailles seront chaleureuses.
Point d’orgue de cette semaine, la restitution des travaux menés lors de ces différents ateliers, en présence des artistes invité.e.s et des étudiant.e.s, est proposée au public jeudi 22 février, de 17h à 20h, à l’ÉSAD de Reims (12 rue Libergier) et à tous les étages…
Les intervenant.e.s :
Christophe Acker, photographe et réalisateur
Alexandre Benetas-Ottobrini, designer culinaire
Victor Bois, designer
Casilda Desazars, costumière et scénographe
Olivier Dupuy, comédien
François Durif, artiste et écrivain
Benjamin Fleury, responsable d’équipe en production horticole [Direction des espaces verts, Ville de Reims]
David Girondin-Moab, plasticien, metteur en scène, marionnettiste [co-directeur du
Jardin Parallèle et du Festival Orbis Pictus]
Philippe Gordiani, musicien-compositeur, producteur, metteur en scène [directeur de Césaré, Centre National de création musicale – Reims]
Leelou Guével-Balbusquier, designer
Maud Marquet, chorégraphe
Ismaël Taggae, artiste breaker et entrepreneur [fondateur du Studio 511]
Charlotte Van der Veken, artiste plasticienne
Aurélie Vigne, vannière
En partenariat et avec le soutien de la Ville de Reims et du Grand Reims, de La Comédie, Centre dramatique national de Reims, de Césaré, Centre national de création musicale de Reims, de l’Opéra de Reims et du Jardin parallèle.
Visitez l’école en accès libre, ses salles de cours et ses ateliers de production. Découvrez les travaux des étudiants de la première année aux années master. Rencontrez et échangez avec les enseignants, les étudiants, les équipes administrative et technique de l’école.
Soyez curieu.se.x et visionnez les vidéos de nos Journées Portes Ouvertes 2023 et 2024
Des journées Portes Ouvertes comme on les aime !
👉 à retrouver ici : JPO 2023
👉 à retrouver ici : JPO 2024
🎥 ©Jean Wanschoor – ÉSAD de Reims
Toutes les disciplines enseignées à l’école vous sont présentées: l’Art, le Design objet & espace, le Design graphique & numérique, et le Design & culinaire.
Focus sur la future ÉSAD
Cette année, vous seront dévoilés les contours de la nouvelle école, pensée par l’architecte Jean-Pierre Lott, dévoilant les nouveaux cadres de travail et de vie de la future ÉSAD de Reims à l’horizon 2026 dans le quartier en devenir du Port Colbert !
Nouveauté de la rentrée 2023/2024 : la formation en alternance en master sera également développée.
Les supports de communication
Mention spéciale
Un grand merci est adressé à Roxanne Anèse, Marjorie Catez, Anne de Mauregard, Mado Lecroart, étudiantes en master Design graphique & numérique, et à leurs enseignants Brice Domingues et Sarah Vadé, designers graphiques, qui ont réalisé l’ensemble des supports de médiation.
Soyez curieu.se.x et visionnez les vidéos de nos Journées Portes Ouvertes 2023 et 2024
Des journées Portes Ouvertes comme on les aime !
👉 à retrouver ici : JPO 2023
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🎥 ©Jean Wanschoor – ÉSAD de Reims
En plein coeur de Reims, au 21 place d’Erlon, s’installe durant trois jours comme une nouvelle galerie d’art et de design… Portée par Charles Defente, Lucas Poncin et Agathe Wcislo, cette initiative mobilise les étudiant.e.s de toutes années et toutes options de l’ÉSAD. En mai dernier à L’Espace d’Erlon, ce rendez-vous périodique investit aujourd’hui une nouvelle cellule commerciale très centrale, insolite, de quelque 300 m2 sur deux niveaux, gracieusement mise à disposition par l’Hôtel de la Paix. Du choix des oeuvres exposées à la scénographie de la galerie en passant par la création des supports de médiation, les jeunes talents sont à pied d’oeuvre pour faire de cet événement un succès et surtout l’occasion d’une vraie rencontre avec les publics !
VERNISSAGE Vendredi 8 décembre : 18h-22h
Samedi 9 décembre : 9h-18h
Dimanche 10 décembre : 9h-15h
En accès libre
Affiches et flyers à télécharger
(conçus par les étudiant.e.s à l’initiative du projet)
L’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims est heureuse de convier les publics à une demi-journée d’étude sur la thématique des « Vivacités écologiques » au regard de l’art contemporain, mardi 21 novembre, de 10h à 12h30, au théâtre du Manège de Reims.
Ce cycle de conférences s’inscrit dans la continuité des journées d’étude « Écoféminisme(s) et art contemporain » (2021) et « Sonder la terre » (2022).
En présence des intervenantes Teresa Castro, maîtresse de conférences en études cinématographiques à l’université Sorbonne Nouvelle, Géraldine Longueville, artiste, et Kathryn Weir, commissaire d’exposition et historienne de l’art.
Modération : Rozenn Canevet, directrice du programme de recherche en art et sciences sociale EKES (EarthKeeping EarthShaking) du Master Art de l’ÉSAD.
Dans le cadre de la Science Week Berlin 2023, le projet de recherche Brain Roads (1) réunit en workshop à Berlin les étudiant.e.s du master Design graphique & numérique de l’ÉSAD de Reims avec un groupe d’étudiant.e.s en Art et en Design de la Weissensee Kunsthochschule Berlin, accompagné.e.s par les enseignant.e.s et chercheur.e.s Patricia Ribault et Olaf Avenati (2). Ils sont accueillis par le Cluster d’Excellence Matters of Activity de l’Université Humboldt de Berlin et par le service de neurochirurgie de l’Hôpital Universitaire Charité de Berlin durant trois journées de travaux interdisciplinaires dédiés au concept de neuroplasticité et aux formes visuelles qu’il peut prendre.
Un premier groupe d’étudiant.e.s designers et artistes franco-allemand présentera lors d’une journée publique de colloque, le 2 novembre, les résultats de sa recherche plastique menée en écho aux travaux du professeur Hugues Duffau (3), après avoir assisté à deux chirurgies éveillées à Montpellier en février 2023.
Un second groupe d’étudiant.e.s franco-allemand sera chargé de saisir en direct par le dessin les concepts et prises de parole des chercheurs et chirurgiens durant trois jours. Le groupe assistera également à une neurochirurgie à l’Hôpital Universitaire Charité de Berlin.
De retour dans leur école respective, les participant.e.s engageront un travail d’élaboration graphique et plastique pour développer des systèmes de représentation et des interprétations plastiques autour du concept de neuroplasticité.
Rendez-vous en mars 2024 pour découvrir les résultats de ce travail qui s’engage.
Le projet Brain Roads a reçu en 2023 le soutien de l’Ambassade de France à Berlin et du Cluster Matters of Activity – HU Berlin.
PROGRAMME DU COLLOQUE 02/11/23
1 — Brain Roads est un projet de recherche initié en 2019 par Olaf Avenati, enseignant à l’ÉSAD de Reims, Patricia Ribault et Thomas Picht, Principal Investigators du Cluster d’excellence Matters of Activity de l’Université Humboldt de Berlin. Le projet explore les formes graphiques du modèle du cerveau humain, en collaboration avec un groupe interdisciplinaire de recherche qui réunit le Cluster d’Excellence Matters of Activity, l’Université Humboldt de Berlin, le service de neurochirurgie de l’Hôpital Universitaire Charité de Berlin, le service de neurochirurgie de l’Hôpital Gui de Chauliac de Montpellier, l’atelier de Design d’information du master de Design graphique & numérique de l’ÉSAD de Reims, l’enseignement en Performative Design Research de Weissensee Kunsthochschule Berlin, la majeure JIN (Jeu video et interactions numériques) de Télécom SudParis – Institut polytechnique de Paris.
Plus d’informations : https://entreformesetsignes.fr/la-recherche/programme-datavisualisation/brain-roads / https://entreformesetsignes.fr/la-recherche/programme-datavisualisation/brain-roads-voxel-model
2 — Patricia Ribault est professeure en Performative Design Research à la Weissensee Kunsthochschule Berlin et Principal Investigator du Cluster d’Excellence Matters of Activity – HU Berlin.
Olaf Avenati est designer graphique et numérique, professeur d’enseignement artistique à l’ÉSAD de Reims (master Design graphique & numérique) et chercheur associé du Cluster Matters of Activity – HU Berlin.
3 — Le Professeur Hugues Duffau est médecin, neuro-chirurgien et chef de service de neurochirurgie de l’Hôpital Gui de Chauliac à Montpellier. Il conduit une recherche sur la neuroplasticité et les fonctionnements du cerveau, en appui sur la pratique clinique de la neuro-chirurgie avec patient.e.s éveillé.e.s. Il est l’auteur du livre L’erreur de Broca, Michel Lafon, 2016.
ce qui touche est bon à être caressé
Exposition des diplômé.e.s du master Art Prix 2023
10e édition du Prix PRISME
Commissariat : Vanessa Morisset
Six artistes qui sont également des ami.e.s emménagent aujourd’hui en coloc dans une nouvelle maison pour une durée de trois semaines.
Cartons déballés, bagages vidés, meubles déjà montés, il est temps pour elleux de s’occuper des deux espaces qui les accueillent, le Labo et la Forge de La Fileuse, à l’aide de leurs outils préférés : peinture, sculpture, vidéo, photographie, musique, performance… Par petites touches, ajouts, retraits, déplacements, substitutions, ça arrange les murs, illumine les plafonds, investit les sols, reconsidère les escaliers, portant attention aux moindres détails. Une ambiance commence à se faire sentir, faite de sensibilité, d’une dose de folie, avec parfois la tentation de se vouer aux divinités de la technologie ou au contraire de métamorphoser des déchets en trésors, avec en tout cas une douceur qui fait face à la violence du monde. Car tout ce qui touche est bon à être caressé et tout ce qui affecte, l’art peut s’en faire l’interprète. Les six artistes vous convient à les rejoindre dans les lieux qu’iels se sont mis à habiter, pour vous parler des personnes et des personnages qui les habitent aussi, avec qui iels cohabitent, et puis des gestes qu’iels produisent et reproduisent, des amitiés nées et celles qui perdurent, des souhaits pour la suite, pour les futures cohabitations, sous la forme d’une exposition à quelques douze mains.
ce qui touche est bon à être caressé est une exposition collective de Camille Dumay, Valérian Gago Beaufour, Marguerite Hollemaert, Rose Le Goff, Mélissa Michalet et Agathe Rousseau, diplomé.e.s du Master Art de l’ÉSAD de Reims en juin 2023, et Vanessa Morisset, docteure en histoire de l’art contemporain, critique d’art et professeure d’histoire de l’art et de culture générale de ladite école.
Vernissage public + remise du Prix PRISME
mercredi 15 novembre, à 19h
Finissage public samedi 2 décembre, de 13h à 18h
La Fileuse, friche artistique de la Ville de Reims
26 rue du Docteur Albert-Schweitzer – Reims
Exposition du 16 novembre au 2 décembre,
les samedis en accès libre, de 13h à 18h,
puis du lundi au vendredi, sur rendez-vous.
Le Prix PRISME fête ses 10 ans !
L’exposition du Master Art, avec la distinction du Prix PRISME, est devenu au fil des années un véritable rendez-vous culturel pour la Ville de Reims, l’ÉSAD de Reims, le.a lauréat.e, l’association culturelle PRISME et la jeune création contemporaine.
Créé en 2014, le Prix PRISME distingue chaque année un.e étudiant.e diplômé.e du Master Art 2023 de l’ÉSAD de Reims. D’une dotation de 5 000 €, ce prix valorise le travail de création du.de la lauréat.e et soutient le début de sa carrière d’artiste.
Sélectionné par un jury composé de personnalités du monde des arts et de l’entreprise parmi lesquel.le.s les représentant.e.s de l’association PRISME, l’un.e des jeunes artistes aura l’honneur de recevoir le 10e Prix PRISME lors du vernissage de l’exposition collective ce qui touche est bon à être caressé.
Pour cette édition-anniversaire, double plaisir : un « finissage », également ouvert au public, clôturera cette exposition.
À PROPOS DE
PRISME, le club d’entreprises mécènes
Association rémoise créée en 1989, aujourd’hui présidée par Didier Janot, PRISME regroupe une quarantaine d’entreprises qui soutient l’art contemporain à travers l’installation d’œuvres d’art public sur le territoire de Reims et du Grand Reims, et l’accompagnement des jeunes créateurs.
Acteur majeur de la vie culturelle rémoise, PRISME est aussi l’un des partenaires et soutiens les plus engagés de l’ÉSAD depuis de nombreuses années. Les Prix annuels PRISME, à l’automne, et du concours céramique CÉRAMIX, au printemps, en sont les vivants témoignages.
La Fileuse, friche artistique de la Ville de Reims
Née en 2011, la Fileuse est un établissement culturel de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Ville de Reims, situé dans le quartier Orgeval. Il s’agit d’un lieu de travail, de production et d’échanges pour les artistes professionnel.e.s de toutes les disciplines. La Fileuse favorise l’expérimentation, la création, les rencontres artistiques et l’innovation sur le territoire rémois. L’établissement accueille des résident.e.s dans une dynamique de projets, sur quelques semaines ou quelques mois.
Depuis 2018, la Fileuse est partenaire de l’ÉSAD et propose, chaque année, une résidence post-diplôme d’un an à un.e étudiant.e de la section Art de l’ÉSAD après obtention de son master. Elle accueille l’exposition du Prix PRISME depuis 2022.
L’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims, l’une des plus anciennes écoles des Beaux-Arts de France, est aujourd’hui bien implantée dans le 21e siècle.
Renommée pour l’excellence de sa formation dans le champ de l’art comme du design, elle se distingue par une pédagogie singulière qui s’appuie sur un enseignement :
Sa dynamique, qui a porté sa réputation hors de ses frontières, lui permet d’offrir aux étudiant.e.s – avec le concours de ses partenaires – de multiples opportunités d’expériences et de rencontres dans les domaines de la création, de la recherche et de la prospective.
Ses étudiant.e.s font partie des acteurs de l’innovation et de la création de demain.
Ils.elles exerceront leurs talents comme concepteur.rices indépendant.es, graphistes, designers, vidéastes, artistes…
Qu’est-ce que la taxe d’apprentissage ?
La taxe d’apprentissage est une taxe obligatoire versée par toutes les entreprises pour financer le développement de l’enseignement et des formations professionnelles.
Sa particularité : elle donne à chaque société contributrice la liberté de choisir l’établissement d’enseignement qui en sera le bénéficiaire.
Entrepreneurs, grandes, moyennes et petites entreprises, dirigeant.e.s de sociétés, chargé.e.s des ressources humaines, de communication, ancien.ne.s étudiant.e.s de l’ÉSAD de Reims… quelle que soit votre activité, vous pouvez soutenir l’ÉSAD de Reims.
Pour quels projets ?
Ces soutiens sont essentiels à l’école ; ils permettent de financer et de consolider de nombreuses actions et de nombreux projets dans les domaines de l’enseignement, des équipements pédagogiques et techniques et de la recherche…
Concrètement, pour l’année scolaire 2023-2024, votre concours permettra de…
Comment verser la taxe d’apprentissage ?
En 2023, un nouveau circuit de versement pour les entreprises se met en place.
Ainsi, pour le solde de la taxe d’apprentissage qui est dû en 2023 au titre des rémunérations versées en 2022, les versements sont à faire auprès de l’Urssaf ou la MSA.
À partir du 25 mai 2023, les demandes d’habilitation et de création de compte sont à effectuer sur le service Net-entreprises
SOLTÉA, plateforme du solde de la taxe d’apprentissage, vous sera ouverte : pour plus d’informations cliquez sur ce lien
Trois étapes-clés :
1 – Je déclare et paye la taxe d’apprentissage 2022 en Déclaration Sociale Nominative (DSN) à destination de l’Urssaf et/ou la MSA
→ Mensuellement en 2022 pour la part principale
→ Sur la DSN d’avril 2023 pour le solde (exigible le 5 ou 15 mai 2023)
2 – Je désigne les bénéficiaires du solde à partir du 25 mai 2023
→ Je m’inscris et me connecte sur le service disponible sur Net-Entreprises.fr
→ Je crée mon compte entreprise sur laplateforme SOLTÉA
3 – Je peux suivre les versements effectués par la plateforme SOLTÉA sur le service disponible sur Net-Entreprises.fr
L’ÉSAD est présentée sous forme d’une fiche d’établissement.
Notre Numéro de Siret : 20002737300014 – Notre code UAI : 0510084P
D’AUTRES FORMES DE PARTENARIAT POSSIBLES
Votre soutien est précieux quelles que soient ses modalités.
Ou encore :
Exemples de partenariats menés en 2022 :
Un grand merci à l’ensemble de nos partenaires qui nous soutiennent !
Cette année encore, les jeunes talents investissent les caves voûtées et nouvellement réaménagées du Cellier, à Reims, offrant une scénographie ingénieuse à leurs créations. Un rendez-vous auquel sont conviés les publics de tous âges du 15 septembre au 22 octobre. Vernissage jeudi 14 septembre, à 18h30 !
Poétiques, leur univers, leur champ de compétences et leurs réalisations sont aussi résolument ancrés dans le monded’aujourd’hui. Ils et elles ont été nouvellement diplômé.e.s du Master Design de l’ÉSAD de Reims et s’apprêtent à entrer dans la vie professionnelle.
Découvrez les projets de diplôme qu’ils.elles ont soutenus face à leur jury en juin dernier, à l’issue des cinq années d’études que requiert le Diplôme National d’Expression Plastique (DNSEP) : cinq années de réflexion, de recherche, de développement de projets abordant tous les domaines de création et tous les matériaux, et dont les projets de diplôme sont les fruits portés à maturité.
Ces récent.e.s diplômé.e.s sont appelé.e.s à devenir des professionnel.le.s reconnu.e.s du Design d’objet, Design graphique & numérique, et Design & culinaire ; la tonalité des projets dediplôme donne déjà des indices sur les orientations que prendront leurs futurs travaux : design au service du handicap, anoblissement de matériaux pauvres et réemploi d’objets industriels, création d’objets usuels et sculpturaux alliant matériaux naturels bruts et design domestiqué, histoires et légendes de la mythologie grecque comme prétextes au déploiement de véritables narrations comestibles, exploration des potentiels synesthésiques del’expérience culinaire transposée dans la musique, etc.
Rencontrez ces jeunes créateur.rice.s à l’occasion du vernissage de l’exposition jeudi 14 septembre, à 18h30, au Cellier [4 bis rue de Mars – Reims].
Ouvert à toutes et tous
Exposition en accès libre du mercredi au dimanche 14h-18h
Promotion 2023 : Sarah Bencherif, Fiona Bosquier, Théo Charasse, Marcelline Cury, Claire Diblanc, Eugénie Faivre-Daisay, Leelou Guével-Balbusquier, Ruben Herzberg, Tess Lignon, Carlos Quentin Ribeiro, Alexis Thébaud, Estelle Sage
Céline Savoye a été nommée par les membres constituant la gouvernance collégiale de l’Établissement Public de Coopération Culturelle (EPCC) ÉSAD de Reims : le ministère de la Culture représenté par la Direction Régionale des Affaires Culturelles Grand Est, la Région Grand Est, la communauté urbaine du Grand Reims, la Ville de Reims et l’Université Reims Champagne-Ardenne (URCA).
Les équipes administrative, technique et pédagogique de l’établissement se joignent au Conseil d’Administration de l’EPCC, présidé par Pascal Labelle, adjoint au maire de la Ville de Reims en charge de la culture et des patrimoines, pour souhaiter chaleureusement la bienvenue à Céline Savoye.
Issue d’une double formation en design et sciences de l’art (ÉSAD et Faculté d’arts plastiques Université Jean Monnet, Saint-Étienne), Céline Savoye s’inscrit dans un parcours professionnel depuis les années 2000 au service de projets ambitieux, au cœur des Industries Culturelles et Créatives, de l’action culturelle et du développement économique (lille—design, Établissement public du château de Versailles x Musée des Beaux-Arts d’Arras, Ambassade de France à Tunis, Cité du design de Saint-Étienne, Éditions Jean-Michel Place).
Elle s’investit en parallèle dans des missions indépendantes en répondant à des missions d’expertises internationales dans les champs de la mode, du design et de l’artisanat et, plus récemment, dans le renouvellement urbain.
Elle assure également différents commissariats d’exposition dans des domaines inattendus, portant des réflexions d’ordre culturel, économique et sociétal (Passé présent, mémoire industrielle, Le Fresnoy, Tourcoing, 2020 ; Design Asean 17/20, Ambassade de France en Thaïlande x Institut français Paris, 2020 ; L’objet d’un dialogue, IRMACC, Biennale Internationale Design Saint-Étienne, 2013 ; La Collection, Ambassade de France en Tunisie, 2010 ; Design Made in Africa, production itinérante, Institut français, 2004-2008).
Elle est nommée directrice de l’ÉSAD de Reims en juillet 2023.
Son projet stratégique et pédagogique s’articule autour de la relocalisation de l’École et des deux options Art et Design au cœur d’un nouvel écosystème au Port Colbert, l’expérimentation échelle 1, les partenariats académiques, culturels et économiques.
Sa prise de fonction officielle est le 15 septembre. Elle vit à présent à Reims.
« Les formations d’excellence de l’ÉSAD de Reims bénéficient d’une aura par la singularité de ses mentions*. L’ambition à présent est de déployer l’attractivité et le rayonnement de l’école en tirant profit de sa relocalisation au Port Colbert à l’horizon 2025. Un programme pédagogique original, basé sur l’accroissement de projets à dimension territoriale pour tous les cycles et options, sera mis en œuvre dès cette année. Il prendra appui sur les ressources intellectuelles, opérationnelles et techniques de l’ÉSAD, au bénéfice des étudiants et de leur cadre de vie.
Je me réjouis de cette perspective de travail et remercie le Conseil d’Administration de l’EPCC pour la confiance qu’il m’accorde. »
– Céline Savoye
*Art / Design objet & espace / Design graphique & numérique / Design & culinaire
Riche en événements, la rentrée 2023 de l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims préfigure une année des plus prometteuses. Dès jeudi 7 septembre, l’ÉSAD vous donne rendez-vous à Reims et Paris – à votre convenance ! À Saint-Ex Culture numérique-Reims, le vernissage de l’exposition « Abords » vous attend : une sélection de 14 propositions artistiques audacieuses réimaginent l’esplanade André-Malraux, face à Saint-Ex. À la galerie Joseph, à Paris, deux des nouveaux.elles diplômé.e.s du master Design objet & espace ont l’honneur de participer à l’événement Paris Design Week Factory – la consécration d’un travail porté à maturité après cinq années de formation à l’ÉSAD.
Au sujet de Paris Design Week
Deux des diplômé.e.s du master Design objet & espace – Leelou Guével Balbusquier et Théo Charasse – participent à Paris Design Week Factory, du jeudi 7 au lundi 11 septembre, à la Galerie Joseph.
Accompagnés de leurs enseignant.e.s, Véronique Maire, designer et titulaire de la Chaire IDIS (Industrie, Design et Innovation Sociale) et Fabien Cagani, designer et responsable du master Design objet & espace de l’ÉSAD de Reims, Leelou et Théo auront l’honneur de présenter en avant-première leur projet de diplôme, rejoignant la sélection de PDW Factory des 60 designers représentatifs de la scène internationale du design de demain.
Leelou et Théo présenteront également leurs créations lors de Design’R, l’exposition annuelle des masters Design de l’ÉSAD de Reims, au Cellier, à Reims, du 15 septembre au 22 octobre (vernissage jeudi 14 septembre, 18h30). Plus d’infos à venir…
Riche en événements, la rentrée 2023 de l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims préfigure une année des plus prometteuses. Dès jeudi 7 septembre, l’ÉSAD vous donne rendez-vous à Reims et Paris – à votre convenance ! À Saint-Ex Culture numérique-Reims, le vernissage de l’exposition « Abords » vous attend : une sélection de 14 propositions artistiques audacieuses réimaginent l’esplanade André-Malraux, face à Saint-Ex. À la galerie Joseph, à Paris, deux des nouveaux.elles diplômé.e.s du master Design objet & espace ont l’honneur de participer à l’événement Paris Design Week Factory – la consécration d’un travail porté à maturité après cinq années de formation à l’ÉSAD.
Au sujet de l’exposition « Abords » :
Sur 50 projets, 14 ont été retenus. Réalisés par des étudiant.e.s de première année (2022-2023), dans le cadre du cours de « Dessin technique – représentation dans l’espace » dont l’enseignement est assuré par Anne Fressard et Raoul Sbaiz, ces projets proposent la transformation du parvis de Saint-Ex Culture numérique-Reims, en lien avec les autres lieux emblématiques avoisinants La Comédie de Reims et le CIS de Champagne. Résultant d’une analyse fine du site et de ses infrastructures (historique, contextuelle, typologique et structurelle), ainsi que d’un dialogue constructif avec les équipes de Saint-Ex, ces 14 études comprenant cahier de recherches, planches à dessins et maquettes 3D, sont cohérentes, réalisables et totalement singulières. Innovantes, elles offrent la vision d’une esplanade réinventée – parfois futuriste – dont on se prend à rêver…
La sélection : Relativité de Nestor Baudens ; Rayons de couleurs de Marine Benois ; Seconde peau de Guillaume Cez ; Orbite brillante d’Anastasia Demonsiuk ; Saint-Ehausser de Violette Delerce ; Moulons Saint-Ex de Sirine Djermani ; Statisd’Elies El Ferroun ; A l’ombre de Mathilde Hatton ; Cromatexd’Inès Jeanteur ; Brise orientale de Stéphanie Kandalft ; Assemblage brutaliste de Clémence Lavaux ; Trajet imprimé de Zelie Lledo ; Vortex d’Angélique Odobert ; Propagation de Guilia Trasente.
Depuis 2019, la chaire IDIS (Industrie, Design et Innovation Sociale), laboratoire de recherche en design de l’ÉSAD de Reims, s’intéresse aux écosystèmes spécifiques des Parcs naturels régionaux (PNR) dont la vocation est de protéger et valoriser le patrimoine naturel, culturel et humain de son territoire.
Parmi les 56 PNR qui se fédèrent autour de ces valeurs, 6 se situent dans la région Grand Est et représentent près de 15 % de sa superficie. La région Grand Est souhaite engager une nouvelle dynamique et faire de ces parcs une vitrine de la transition écologique tout en renforçant le développement et l’attractivité des territoires.
C’est dans ce contexte que s’inscrit le projet de recherche avec la filière bois champenoise. Les étudiants du Master Design objet & espace ont collaboré cette année avec le Parc naturel régional de la Montagne de Reims afin de comprendre le lien étroit qui existe entre la forêt et la vigne, les savoir-faire qui en découlent, et envisager ensemble des propositions à partir du bois local, le chêne, valorisant ce patrimoine.
Les partenaires :
Le PNR de la Montagne de Reims, l’interprofession FIBOIS Grand Est et les entreprises Art et Technique du Bois, Tonnellerie de Champagne.
Brochure de présentation du projet à télécharger
Plus d’infos sur la Chaire IDIS
Plus d’infos sur Les Nuits des forêts
Pour la mise en couleurs des contremarches de la passerelle Saint-Charles le long de la Coulée verte, trois projets réalisés par des étudiant.e.s de 2e année option Design objet sont aujourd’hui soumis au vote du public. Choisissez le projet que vous souhaitez voir se concrétiser prochainement dans l’espace public.
Retrouvez la présentation des projets et le lien où voter :
https://votreavis.enquete-en-ligne.com/cgi-bin/HE/SF?P=4z24z2z-1z-1z5170B0DF4F
Projets par :
– Camille Bonnin, Marion Malard et Manon Thevignot
– Iman Bariol, Ysé Chauvière, Éva Chevalier et Reine Hervé
– Pierre Belin, Louis Cartal et Arthur Karcenty
accompagnés par l’enseignante Cendrine Bonami-Redler
Le Château de Ricey-Bas (Aube) et l’ÉSAD de Reims s’associent pour mettre en œuvre un ambitieux partenariat enrichissant l’expérience artistique et culturelle des visiteur.euse.s de ce domaine classé Monument historique.
Du 8 juillet au 17 septembre, l’exposition « À quelques lieux de là… » est une première édition à découvrir au Château de Ricey-Bas. Une opportunité plurielle à saisir : la visite d’un site d’exception offrant une plongée dans l’histoire, la confrontation du monument avec les regards de 18 jeunes artistes donnant à voir l’édifice et son écrin verdoyant sous un nouveau jour.
Vernissage samedi 8 juillet, à 17h – ouvert à toutes.tous.
Château de Ricey-Bas
1 rue de L’Île
10340 Les Riceys
(à 1h50 de Reims par l’autoroute)
Pour célébrer La Nuit des musées et même prolonger la fête, les étudiant.e.s de l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims vous proposent leur exposition à L’Espace d’Erlon, 24 rue Buirette, du vendredi 12 au dimanche 14 mai 2023.
Dès 18h, le vendredi 12 mai, soyez les premier.ère.s à découvrir leurs réalisations à l’occasion du vernissage.
Scénographiées sur quelque 200 m2 gracieusement mis à disposition par le Centre commercial d’Erlon, ce sont près de 30 œuvres qui sont exposées : des rendus de projets, projets de diplômes ou travaux personnels développés sur plusieurs mois dans les ateliers de l’école. De la 1re à la 5e année, l’ensemble des sections en Art et en Design est représenté.
Les étudiant.e.s vous accueilleront avec beaucoup d’enthousiasme tout au long de cette nouvelle édition de L’ÉSAD s’expose, 2e session d’un rendez-vous périodique vous invitant à découvrir les travaux récents et constamment renouvelés des ésadien.ne.s, et à garder un œil frais sur la création qui ose, à l’avant-garde !
L’ÉSAD de Reims tient à adresser ses remerciements les plus chaleureux aux acteurs locaux qui offrent une « vitrine » à la jeune création.
Le message de Charles, Lucas et Agathe, étudiant.e.s à l’ÉSAD, à l’initiative du projet :
« Nous sommes heureux.ses de vous présenter la 2e édition de L’ÉSAD S’EXPOSE.
La production à l’ÉSAD est riche, variée…
L’idée est de partager avec vous le travail et le savoir-faire des étudiant.e.s de l’ÉSAD en • Art • Design objet & espace • Design graphique & numérique • Design & culinaire.
Dans l’esprit des galeries d’art et des musées, nous voulons transformer, le temps d’un week-end, un espace en transition en salle d’exposition.
Cette exposition est en libre accès et encadrée par les étudiant.e.s qui auront un immense plaisir à vous accueillir et à échanger avec vous ! »
À découvrir : une performance sur la notion du toucher réalisée par les étudiant.e.s de l’ÉSAD
Anaïs Karali, Ash Georges, Pauline Thiant, Julian Auton, Linda Imbert, Léo Soucas-Legrand, Ninon Roblin et Ploipailin Vial,
▶ accompagné.e.s par leurs enseignant.e.s Fabrice Bourlez, philosophe, et Manuela Marques, artiste,
▶ en collaboration avec Marie Barbottin, artiste en compagnonnage au Manège de Reims.
L’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims investit le musée Saint-Remi en avril ! À partir du 14 avril, le musée Saint-Remi accueille l’exposition annuelle du concours céramique de l’ÉSAD, Céramix, 5e édition. Les créations audacieuses des étudiant.e.s en Art et en Design objet & espace côtoieront les collections archéologiques et artistiques de ce joyau architectural. Elles seront soumises à l’appréciation du jury. Trois lauréat.e.s se verront récompensé.e.s par PRISME, club d’entreprises mécènes rémois, le soir du vernissage public. Dans la cour d’honneur du musée, découvrez BaptisTerre, projet de recherche en design porté par la Chaire IDIS de l’ÉSAD. La semaine précédant son dévoilement, cette installation « participative » mobilise étudiant.e.s et riverain.e.s du musée. Plus de 8 tonnes de terre (re)transformées… donnant lieu à une pièce de design monumentale, directement inspirée des collections du musée Saint-Remi. Vernissage commun aux deux événements : jeudi 13 avril, à 18h30 |
Du vendredi 14 avril au dimanche 7 mai 2023, l’exposition du concours Céramix, 5e édition, se tient au musée Saint-Remi. Quinze projets de céramique réalisés par les étudiant.e.s de 3e année Art et Design objet de l’ÉSAD de Reims sont présentés avec pour thématique commune ou défi lancé cette année : « Céramixolor, la couleur est-elle une forme ? ».
Lauréat.e.s du Prix 2023
1- Mathis MARSEPOIL
2- Garance HEINRY
3- Théotime BARBIER et Hyacinthe TROTTIN (ex-aequo)
L’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims est heureuse de convier les publics à une demi-journée d’étude sur la thématique des « Vivacités écologiques » au regard de l’art contemporain, mardi 21 mars, de 9h45 à 12h45, au théâtre du Manège de Reims. En présence des intervenantes Teresa Castro, maîtresse de conférences en études cinématographiques à l’université Sorbonne Nouvelle, Géraldine Longueville, artiste, et Kathryn Weir, commissaire d’exposition et historienne de l’art. Modération : Rozenn Canevet, directrice du programme de recherche en art et sciences sociales EKES (EarthKeeping EarthShaking) du Master Art de l’ÉSAD. |
Les étudiant.e.s de l’ÉSAD instaurent un nouveau rendez-vous périodique à destination des Rémois, des habitants de l’agglomération, des âmes de passage, etc. Au programme : la découverte des travaux des étudiant.e.s en art et design dans une ambiance conviviale avec pour seuls mots d’ordre s’ouvrir, échanger, partager ! Le message adressé par Charles, Lucas et Agathe en couverture vous dit tout sur l’ambition de ce bel événement.
Avec son partenaire, la Médiathèque Jean-Falala, l’ÉSAD de Reims vous convie à la conférence donnée par Ange Leccia :
Jeudi 16 mars 2023, de 15h à 16h30,
à la Médiathèque Jean-Falala (auditorium), 2 place des Fuseliers,
en accès libre et gratuit (dans la limite des places disponibles)
D’abord envisagée à l’attention des étudiant.e.s en Art de l’ÉSAD et d’autres formations artistiques de la ville, cet événement se propose d’accueillir un public plus large, offrant aux Rémois.es et aux habitant.e.s de l’agglomération amateur.rice.s et passionné.e.s d’art l’opportunité d’une rencontre artistique riche, la (re)découverte d’une œuvre reconnue sur la scène contemporaine internationale.
Cette conférence sera suivie par la projection du film « Christophe… Définitivement » à l’Opéraims, 72 place Drouet d’Erlon, à 20h30, en présence d’Ange Leccia (Renseignements tarifs sur operaims.fr).
À propos de l’artiste :
Depuis les années 1970, Ange Leccia développe une œuvre en faisant appel au cinéma expérimental, à la vidéo et à l’installation. Depuis ses premiers usages du super 8 dans les années 1970, les affects sont au cœur de sa démarche esthétique qui questionne la psyché comme réservoir de souvenirs, de rêves et de fantasmes.
Son insertion dans le champ cinématographique s’est faite à travers ses collaborations avec Dominique Gonzalez-Foerster (Ile de Beauté en 1996, Gold en 2000 et Malus en 2004 présenté au Festival de Sundance) mais aussi en solitaire comme dans Nuit bleue, son premier long-métrage distribué par Le Pacte, sorti en salles en 2011 (Festival International de Rotterdam) qui suit La Déraison du Louvre avec Laetitia Casta en 2006.
On a pu voir son travail, entre autres, au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, au Centre Georges Pompidou, au Musée Guggenheim de New-York, à la Documenta de Kassel, au Skulptur Projekte de Münster et à la Biennale de Venise.
Synopsis du film « Christophe… Définitivement » :
Mars 2002, Christophe est de retour sur scène après des années d’absence. La caméra, amoureuse, capte, fixe des mots, des sons, des couleurs, des instants. Christophe… définitivement est un film en suspension construit comme un concert idéal. Il défait la chronologie et nous transporte des scènes de l’Olympia à Versailles, des coulisses à l’appartement home-studio de Christophe où se mêlent ses passions, ses fétiches, ses trésors accumulés au fil du temps et où naissent ses chansons…
Film distribué par New Story
Co-organisées par l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims et le département Arts de l’École nationale supérieure de paysage de Versailles- Marseille (ENSPV-M), ces deux journées d’étude se dérouleront le 1er mars à l’École nationale supérieure de paysage de Versailles-Marseille puis le 21 mars au Manège de Reims. Elles sont portées par le programme de recherche du Master Art de l’ÉSAD de Reims EKES (EarthKeeping EarthShaking) dirigé par Rozenn Canevet, professeure en histoire et théories de l’art. Elles s’inscrivent dans la continuité des journées d’étude « Écoféminime(s) et art contemporain » (2021) et « Sonder la terre » (2022).
Pour sa troisième année d’existence, le programme de recherche en art et sciences sociales EKES (EarthKeeping EarthShaking) concentrera ses travaux de recherche autour d’une pensée de la « vivacité écologique » au regard de l’art contemporain.
Si une plante vivace confond son énergie dans le fait d’éclore et de subsister alors même qu’on la pensait disparue, nous considèrerons ce caractère vivace comme une nécessité, une vivacité écologique. Car cette vivacité devient condition à la vie, à une vie qui se renouvelle, se régénère, se renforce dans un contexte environnemental qui a contrario se traduit par l’appauvrissement des écosystèmes, du vivant, des ressources indispensables à la vie des plantes comme à la vie humaine.
Si une plante vivace confond son énergie dans le fait de sortir et ressortir de terre, année après année, saison après saison, nous nous demanderons comment l’humain·e pourrait s’assurer de sa durabilité, conditionnée, nous semble-t-il, au renouvellement de tous les écosystèmes vivants qui l’environnent.
Le troisième opus d’EKES « Vivacités écologiques » s’intéressera ainsi particulièrement aux formes d’expressions par l’art contemporain qui favorisent ces vivacités écologiques dans un contexte d’urgence climatique : déplacements, errances, tentatives, énergies, fulgurances.
Ils et elles font l’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) d’aujourd’hui et de demain. Place à l’engagement, à l’initiative et à la puissance créatrice des étudiant.e.s de l’ÉSAD.
Du 13 au 17 février 2023, « La Semaine Forte » s’inscrit comme un nouveau temps fort dans le calendrier des étudiant.e.s de l’ÉSAD, toutes années et options confondues. Durant cette semaine, les 200 ésadien.ne.s en Art, Design objet & espace, Design graphique & numérique et Design & culinaire conjuguent leurs forces et leurs talents pour faire œuvre collective. Au centre de toute leur attention « leur école » dont ils.elles veulent cerner l’histoire et l’évolution, à laquelle ils.elles souhaitent apporter leur contribution pour en faire un lieu de vie toujours plus convivial, ouvert sur le Monde, propice à la création, vertueux dans ses pratiques et dans son usage des ressources.
Leur message ? Dans un contexte où les défis à relever sont nombreux, être soi-même acteur du changement et se retrouver ensemble autour d’événements fédérateurs et constructifs se révèlent plus que jamais essentiels.
Place à la Semaine Forte des étudiant.e.s de l’ÉSAD, à leur voix, à leur créativité !
Une semaine de workshops dont le contenu vous est délivré ci-après, avec un temps de restitution ouvert au public :
JEUDI 16 FÉVRIER, entre 15h et 18h
à l’ÉSAD, 12 rue Libergier – Reims
Léo, Agathe, Louna, Ninon, Lola, Jordi, Anne et Garance :
« Aujourd’hui, un groupe d’élèves volontaires a pris l’initiative de créer cette « Semaine Forte ». Cette semaine de workshops, gérée et auto-gérée par les étudiant.e.s, imaginera, construira, produira et se rassemblera autour de projets réalisés uniquement à base de matériaux récupérés et chinés par la récupérathèque de l’école, La Casote.
Cette semaine de workshops a pour ambition de se réapproprier les murs de notre école, d’améliorer nos conditions de travail, de concevoir des outils et de renouer les liens entre étudiant.e.s tant fragilisé.e.s par la Covid 19.
Nous invitons donc les publics à assister au rendu de cette Semaine Forte, jeudi 16 février, entre 15h et 18h. Nous souhaitons montrer aux Rémois et aux habitants de l’agglomération l’atout que représente une école d’art et de design pour un territoire. Nous avons besoin de vous et de vos outils de communication pour partager et diffuser nos problématiques, et nous offrir cette chance de montrer de quoi nous sommes capables !
Nous vous attendons nombreux et vous accueillerons avec plaisir. »
Page Instagram @semaineforte.esad
DÉCOUVREZ LA RESTITUTION DES 14 WORKSHOPS
Les 14 ateliers qui vous sont listés ci-dessous ont été imaginés par les étudiant.e.s, exprimés avec l’énergie, l’humour et la pertinence qui caractérisent ces derniers.
Vous en découvrirez la restitution jeudi 16 février à travers les différents espaces de l’établissement.
Une « boutique » située dans le hall de l’école proposera également à la vente des créations de ces jeunes artistes et designers.
Workshop n°1 : « Mate-moi ça »
Trouvez un moyen visuel et structurel d’habiter les vitrines existantes. Sous forme de planning, de structure modulable, de thème ou d’une signalétique ? Vous êtes libres !
Trouvez un moyen pratique et créatif de communiquer et de valoriser notre savoir-faire auprès des passants. Votre projet pourrait s’appliquer à d’autres vitrines de Reims et pourrait déambuler.
Workshop n°2 : « Smile, Smoke and Sun »
Les fumeurs le connaissent bien, les adeptes du bronzage aussi, cet espace se doit d’être digne de la créativité de notre école ! Les deux bancs ont vieilli… alors pourquoi pas améliorer les tables de pique-nique ? L’objectif de cet atelier est de proposer des structures qui permettront aux élèves de manger dehors durant les beaux jours, de fumer tranquillement lorsqu’il pleut, de discuter en faisant des mots croisés et surtout de pouvoir se retrouver en profitant de notre belle cour ! N’oubliez pas Franchet, construisez aussi des meubles pour nos 1re année et nos artistes !
Workshop n°3 : « Mets le bike à l’abri »
L’espace qui vous est proposé est l’espace disponible en sortant de la salle Champagne. Amusez-vous à réaménager ce lieu pour le rendre plus confortable et plus accueillant, les deux bancs en béton ont fait leur temps… Faites-nous rêver ! En parallèle, un abri vélos est nécessaire au-dessus de l’accès handicapé pour protéger vos belles bicyclettes. Il est important d’en prendre soin ! Vous êtes libres de créer une structure qui viendra se greffer aux rambardes actuelles, peut-être à la manière des ponts couverts… Mettez-nous à l’abri !
Workshop n°4 : « Peins-moi comme une de tes Françaises »
Fini les murs blancs et les affiches de pots qui tombent dans les escaliers. Il est temps d’investir ces espaces et d’en faire des murs d’expressions. Nous vous proposons des zones délimitées dans l’ensemble des escaliers pour y faire vos meilleures fresques. De quoi rafraîchir l’école du sol au plafond (c’est une expression, on ne peint évidemment pas les sols).
Workshop n°5 : « Le workshop qui ne perd pas le nord »
Vous êtes au… rez-de-chaussée. Il vous est proposé de trouver un moyen efficace pour que nous puissions, nous et nos visiteurs, nous repérer au sein des deux sites de notre école, Cathédrale et Franchet. Cet atelier vous propose de réinventer la signalétique de l’ÉSAD de la manière qui vous plaira. Créez un ensemble graphique adéquat, propre à notre école, tout en prenant en compte l’objectif principal d’une signalétique : informer, orienter et guider. Amusez-vous et aiguillez-nous !
Workshop n°6 : « Ô parleurs ! »
Avec cet atelier nous vous proposons d’intégrer une voix off à notre école : jingles, sonneries, petites annonces, blagues tous les quarts d’heure… Libre à vous de trouver un moyen et de mettre en place des haut-parleurs au sein de nos deux sites Cathédrale et Franchet, pour les lier au son d’une seule et même voix, celle de l’école. Qu’en pensez-vous ?
Workshop n°7 : « Extrude-moi »
Nous vous proposons d’expérimenter la céramique autour du principe de l’extrusion.
L’idée de cet atelier est de créer différents outils permettant de générer des formes. Partir de l’objet qu’est l’extrudeuse pour créer des petites séries, s’amuser autour du volume et des différentes combinaisons possibles. Les outils réalisés serviront à tous les curieux. Pensez solide, pensez durable. Éclatez-vous avec la matière.
Workshop n°8 : « Ne te froisse pas »
Dans le but d’agrémenter notre école de nouveaux outils, nous avons pensé qu’il serait cool de pouvoir recycler nos chutes de papier. Pourquoi ne pas réfléchir à une machine à papier ? Une presse ? Et d’autres outils utiles au réemploi de ces matériaux ?
Bonus : Faites-nous des beaux bacs de tri à chaque étage pour recycler un maximum !
Workshop n°9 : « La bricole »
Besoin de nouveaux outils ? Pensez-en de nouveaux ! Réfléchissez à ce qui vous donne envie, sentez-vous libres de proposer ce qui vous fait plaisir. Pourquoi ne pas avoir un mur d’outils bien reconnaissable en libre-service ? Surprenez-vous, surprenez-nous.
Workshop n°10 : « La relève »
Dans ce workshop, nous vous proposons de vous réapproprier toutes les archives dont l’école dispose, depuis sa création en 1748 et jusqu’à notre Semaine Forte (photos, vidéos, projets…).
Découvrez et racontez l’histoire de l’école, les changements qu’elle a vécus, les étudiants et professeurs qui l’ont fait vivre, et questionnez son avenir.
Workshop n°11 : « Chante l’ÉSAD ! »
Dans ce workshop, il sera question de se réapproprier physiquement l’école, de porter les valeurs de cette Semaine Forte et de raconter les problématiques que l’ÉSAD peut rencontrer. Peut-être, les communiquer à l’extérieur de l’école à l’aide du médium de la performance !
Workshop n°12 : « On va te faire ta fête »
Faire de l’ÉSAD une fête. Et pour faire une bonne fête, il faut :
– un bar dépliant,
– des lumières bien mûres,
– des décors croustillants,
Et pour l’assaisonnement : une ambiance épicée.
Rien de plus agréable que de finir la semaine autour d’un verre, dans un bar, entouré d’amis… Pourquoi ne pas imaginer un décor pliant et dépliant ?
Workshop n°13 : « Mon tout sera blanc comme neige »
Nous manquons d’un lieu de rassemblement, mais les communs doivent quand même rester blancs pour les expositions et rendus. Comment lier les deux au sein d’un même espace ?
Proposer un aménagement d’espace, une installation, du mobilier qui puisse à la fois nous permettre de nous rencontrer et d’exposer. Le tout doit rester blanc et facilement déplaçable. L’espace commun doit être optimisé pour pouvoir continuer à être un lieu de rendus ou d’expositions. Pourquoi ne pas penser à des modules qui se déclinent et se multiplient en fonction des besoins ?
Workshop n°14 : « Laisse le flingue, prends les cannellonis »
Au cours de ce workshop nous vous proposons de prendre place en cuisine. Nous le savons tous, la nourriture rassemble et surtout à l’ÉSAD, alors profitons de cette semaine pour nous rassembler et déguster de bonnes bouchées. Cuisiniers, cuisinières, nous comptons sur vous pour rythmer cette Semaine Forte.
Dans le cadre de cette 4e édition des Transformations contemporaines, l’ÉSAD de Reims invite Roxanne Maillet et Tom Hébrard à présenter leur travail.
Roxane Maillet interroge le texte, sa mise en forme et sa lecture en tant que pratique collective ainsi que dans une perspective dyke féministe. Son travail se manifeste sous les formes de reading group, de livres, de typographies, de t- shirts… Elle est l’initiatrice, depuis 2016, du Cave Club : sessions de lectures de textes écrits par des femmes qu’elle invite – des textes dont elle fait la retranscription sous un format éditorial. Elle travaille actuellement avec Auriane Preud’homme à la publication du premier numéro
de la revue Phylactère dédiée à la restitution et la partition de performances. Roxanne Maillet développe également un travail de recherche graphique et de diffusion autour de l’écriture inclusive et des glyphes non-genrés. Elle crée, en 2017, « Out of Closet » qui est une collection de mots sérigraphiés sur des t-shirts. Ce sont aussi des signes distinctifs pour un réseau de lesbiennes absolument occupées à incarner les attitudes qui les définissent. Roxanne Maillet est diplômée de l’École Nationale supérieure des beaux-arts de Lyon et de l’École supérieure des arts – École de recherche graphique (ERG) de Bruxelles.
En faisant des ponts entre les disciplines, Tom Hébrard s’applique à proposer une vision « transverse » de la société dans un temps où la remise en question du paradigme socio-technique est complète. Ses sujets de cœur sont la redirection écologique, la low-tech ou encore la convivialité. Par-là, il interroge nos manières d’être et de faire ensemble. L’art, espace populaire d’expression des imaginaires, lui permet une création déliée des contraintes du design et mobilisatrice. Le design, discipline omniprésente et discrète, permet de renouer avec les cahiers des charges et avec des actions politiques ou techniques. Produire des objets, travailler avec des institutions sont autant de moyens pour refonder les modes de vie et le quotidien. L’enseignement à l’école Boulle ou à Villette Makerz permet de transmettre et de penser aux métiers émergents et aux redirections à envisager dans les métiers d’art et dans le design notamment.
« Oh les beaux camions » est né d’un partenariat entre l’ÉSAD de Reims, le Grand Reims et le groupe Suez.
En tout, 27 véhicules roulant au BioGNV (gaz naturel) – inaugurés lors de la présentation par le Grand Reims et la Ville de Reims de leur Plan de sobriété énergétique, le 30 sept. 2022 – ont été habillés par les étudiant.e.s de 3e année option Art (2021-2022).
Ce projet témoigne du soutien de l’établissement en faveur de la candidature de la Ville de Reims « Capitale européenne de la Culture en 2028 ».
Les camions circuleront dans la ville et son agglomération durant 3 ans.
Comment devient-on créateur.rice ?, sous la direction d’Anaël Pigeat, Paris, éditions Les Presses du réel, juin 2022. Préfacé par Raphaël Cuir.
L’ouvrage : Un livre pour aborder autrement ce qui s’enseigne et s’apprend en école supérieure d’art et de design. À travers cette (immense) question « Comment devient-on créateur / créatrice ? », ce livre tente de transmettre un état d’esprit, ce souffle de liberté, de création, d’exploration, d’innovation que les écoles entretiennent et chérissent. Aider les jeunes qui envisagent des études artistiques à s’y projeter, leur proposer une incitation, voire une invitation. Accompagner celles et ceux qui suivent déjà un cursus artistique comme celles et ceux qui les construisent dans l’interrogation sur leur pratique.
Du témoignage à la réponse spéculative ou graphique, voire humoristique, enseignants et étudiants répondent de manière forcément personnelle et de l’intérieur, c’est-à-dire depuis l’école (ou tout juste sortis, le diplôme en poche).
Pour enrichir le regard et échapper à l’entre-soi, il était indispensable d’ajouter des paroles extérieures qui connaissent bien le monde des écoles supérieures d’art et de design (pour en être issu, y avoir enseigné et/ou les avoir dirigées). Marc Partouche revient sur la généalogie des écoles d’art et leur genèse, en réaction à une forme d’enseignement artistique sclérosée au XIXe siècle et souligne l’importance des artistes dans le développement d’alternatives. Arnaud Labelle-Rojoux rappelle que les écoles d’art et de design sont des lieux de production où la technique joue un rôle fondamental, pourvu qu’elle reste articulée à l’expérimentation et à la réflexion critique. Matali Crasset nous ouvre les coulisses et prémisses de son devenir designer, de l’enfance rurale à l’ENSCI-les ateliers en passant par Berlin et Vienne. Interrogé par Anaël Pigeat, Ange Leccia revient sur son parcours, des premières années en Corse au Pavillon du Palais de Tokyo, les rencontres avec des intercesseurs, avant de le devenir lui-même. Peut-être qu’on devient créateur / créatrice, quand on ne peut se satisfaire du monde comme il est, dans l’irrépressible désir de voir d’autres formes apparaître. Peut-être qu’on devient créateur / créatrice pour interroger quand même l’impérieux « Parce-que » de l’art, et de toute forme de création, comme le montre les travaux des diplômés du DNSEP (Master) dans le dernier chapitre.
À propos de la directrice de publication :
Anaël Pigeat est critique d’art, rédactrice en chef de la revue artpress.
Avec les contributions de Raphael Cuir, Marc Partouche, Arnaud Labelle-Rojoux, Matali Crasset, Ange Leccia…
Acheter Comment devient-on créateur.trice ? en ligne
ISBN: 978-2-37896-313-2
Le Chanvre – matière à transitions, Design, Territoire, Écologie, sous la direction d’Elisabetta Bucolo et de Véronique Maire, Paris, Éditions LOCO, mai 2022. Préfacé par Dominique Bourg. Postface par Raphaël Cuir.
L’ouvrage : Venant combler un manque de références en la matière, cet ouvrage offre une approche globale, transversale, et multi-située du chanvre, rendant compte d’un enchevêtrement de problématiques. Un objet de recherche que se partagent aujourd’hui les designers, les ingénieurs, les agronomes, les sociologues, les historiens, mais également les étudiants, les enseignants, les collectivités locales ou encore les agriculteurs, les coopératives, les professionnels de la construction, du textile, de l’agro-alimentaire, etc. Ils sont tous rassemblés ici à travers textes, analyses, entretiens, témoignages et photographies.
Cet ouvrage, riche dans ses contenus et ses formats, écoute les acteurs qui manipulent cette plante ou matière au quotidien ou ceux qui travaillent à sa valorisation et questionne ainsi ses représentations. Il donne à voir la manière dont des étudiants en design s’emparent de la matière pour la faire devenir objet, en présentant notamment les outils et supports développés par des étudiants de l’ÉSAD de Reims. Il contribue, in fine, à comprendre l’insertion du chanvre au monde tant d’un point de vue économique, politique, social qu’environnemental.
À propos des directrices de publication :
Elisabetta Bucolo est sociologue, maîtresse de conférence au Cnam et membre du Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique (Lise/Cnrs) à Paris. Elle dirige le master Intervention et développement social : économie social et solidaire. D’origine italienne, après une maîtrise en sciences politiques et un DEA à l’EHESS, elle as discuté sa thèse de doctorat en 2011 au Cnam et complété son parcours académique par un post doctorat à l’université Paris 1 Panthéon Sorbonne sur « Les innovations sociales dans les services sociaux ». Aujourd’hui, ses recherches s’inscrivent dans le courant de la sociologie économique et portent sur : l’économie sociale et solidaire ; les innovations sociales ; les initiatives citoyennes de transition écologique, les mouvements citoyens contre la criminalité. Pour la chaire IDIS de l’ÉSAD de Reims, elle intervient depuis 2018 auprès des étudiants du master 1 Design objet, notamment sur la question de l’innovation sociale.
Véronique Maire est designer et enseignante à l’ÉSAD de Reims. Au sein de cette dernière, elle est impliquée dans le programme de recherche fondateur sur l’autoproduction, qui s’inscrit dans l’unité de recherche Formes de l’innovation sociale. Depuis 2015, elle est titulaire de la chaire IDIS. Son rôle est d’animer, de fédérer et de médiatiser les différentes actions de la chaire IDIS et de mener des projets de recherche avec les étudiants de master Design objet. En 2018, elle a publié, en codirection avec Emeline Eudes La Fabrique à écosystèmes. Design, Territoires et Innovation sociale (éditions Loco).
Avec les contributions de Pierre Amadieu, Jérémie Bastien, Kristell Blache-Comte, Nathalie Blanc, Dominique Bourg, Brigitte Chabbert, Rémy Chorda, Raphaël Cuir, Arnaud Day, Romain Debref, Mathieu Ebbesen-Goudin, Nathalie Fichaux, Antoine Gallos, Bernard Kurek, Bertrand Lacoste, Thibaut Lecompte, Christine Leconte, Pascal Mortoire, Xavier Moulin, Manuel Orhant, Simon Remy, Jean-Hugues Renault, Aline Riehl, Aliénor de Rouffignac, Claire Salembier, Yannic Santandreu, Marie-Laurence Sapin, Manon Scellier, Catherine Virassamy, Franck-Dominique Vivien, Florence Wuillai et les étudiants de l’ÉSAD de Reims.
Acheter Le Chanvre, matière à transitions en ligne
EKES Écoféminisme(s) et art contemporain, sous la direction de Rozenn Canevet, Camille Froidevaux-Metterie, Paris, éditions Les Presses du réel, en coproduction avec l’ÉSAD de Reims, novembre 2022. Préfacé par Raphaël Cuir.
Lancement
lundi 5 décembre 2022, 19h-21h,
Lafayette Anticipations – Fondation Galeries Lafayette
9, rue du Plâtre F-75004 Paris
entrée libre
À l’occasion du lancement du premier numéro de la nouvelle revue d’Art et Sciences sociales EKES (EarthKeeping EarthShaking) consacré aux écoféminisme(s) et à l’art contemporain, Rozenn Canevet, historienne de l’art, Camille Froidevaux-Metterie, philosophe, co-directrices de l’ouvrage, Anaïs Tondeur, artiste et les graphistes A&A (Amélie Blachère et Antoine Sigur) avec Brice Domingues seront en discussion avec Madeleine Planeix Crocker, curatrice associée à Lafayette Anticipations.
Plus d’infos ici
L’ouvrage : La collection EKES (EarthKeeping EarthShaking) en Art et Sciences sociales diffuse les recherches du programme éponyme porté par l’ÉSAD de Reims au sein du master Art depuis septembre 2020.
« EarthKeeping EarthShaking » reprend le titre du 13e numéro du magazine américain Heresies : A feminist publication on art and politics. Portée par leHeresies Collective fondé à New York en 1976, l’aventure éditoriale de cette publication durera de 1977 à 1993. Intituler aujourd’hui le programme de recherche « EKES » (EarthKeeping EarthShaking), c’est poser l’hypothèse d’un renouveau de l’habitabilité du monde du point de vue des artistes dans une perspective convergente de l’histoire politique, des humanités environnementales et de l’histoire de l’art. C’est aussi vouloir interroger un autre rapport au monde vivant, considéré non plus comme un tout mais comme une multitude. Un rapport plus collaboratif que séparatif pour favoriser l’échange, la transmission, l’altérité. À rebours d’un rapport de prédation, de domination et de hiérarchisation, tant sur les ressources naturelles que sur les femmes, le programme de recherche EKES soutient une posture de l’artiste qui n’impose plus une manière de voir, de faire, mais qui va revisiter son milieu de vie à travers son extériorité, son altérité, et son autonomie.
À propos des directrices de publication:
Rozenn Canevet enseigne la théorie et l’histoire de l’art à l’ÉSAD de Reims où elle dirige les programmes de recherche du master Art. Dans ce contexte, elle signe la direction de l’ouvrage Artist-Run Spaces Around and About (Les presses du réel, 2018). À partir de 2020, elle dirige le programme de recherche EKES sur les écoféminismes, la relation à la terre et la vivacité écologique dans l’art contemporain. Par ailleurs, elle intervient régulièrement à l’École Supérieure d’Art et du Paysage de Versailles depuis 2017.
Camille Froidevaux-Metterie est spécialiste de l’histoire et de la pensée féministes. Ses recherches sont consacrées aux thématiques corporelles féminines dans une perspective phénoménologique qui pense le corps des femmes entre aliénation et émancipation. Elle est l’autrice de La révolution du féminin (2015, Folio 2020), Le corps des femmes. La bataille de l’intime (2018, Points 2021), Seins. En quête d’une libération (2020, Points 2022) et Un corps à soi (Seuil).
Avec les contributions de : Raphaël Cuir, Rozenn Canevet, Virginie Maris, Julie Crenn, Benedikte Zitouni, Marie Léa Zwahlen, Myriam Ziehli, Tiphaine Calmettes, Camille Froidevaux-Metterie, Anaïs Tondeur, Marine Legrand, Julie Michel, Madeleine Planeix-Crocker, Leïla Barkaouï, Julie Gorecki, Myriam Bahaffou.
ISBN: 978-2-37896-352-1
Design & culinaire : une culture en mouvement, sous la direction de Germain Bourré, Julie Rothhahn, Paris, éditions Menu Fretin, novembre 2022. Préfacé par Léo Mariani.
L’ouvrage : Cet ouvrage invite à découvrir et à comprendre le Design & Culinaire.
Il relate les activités de recherche du master Design & Culinaire de l’ÉSAD de Reims en s’appuyant sur les projets de design et les formes produites ces dix dernières années au sein de l’école, tout en faisant émerger les réflexions qui se tissent autour.
Des contributions extérieures de chercheurs et de professionnels viennent apporter des regards pluriels sur la discipline et sur sa capacité à produire du sens au sein même de ses productions plastiques.
Le Design & Culinaire repose sur la capacité à lier de manière créative et consciente, par le travail de la forme, tout ce qu’englobe le champ de l’alimentation.
Cette publication montre en quoi la considération du vivant constitue la pierre angulaire du Design & Culinaire. Cette base de réflexion amène à remettre en question nos actions, nos gestes et nos postures, puisque le vivant pose, de fait, la question de l’altérité, de l’attention à l’autre. La deuxième partie de l’ouvrage se consacre à cette question. Se nourrir de l’autre, c’est s’efforcer à trouver une possibilité de dialogue entre des entités n’ayant pas toujours de langage commun. En travaillant à créer de nouvelles relations, de nouvelles manières de lier ce qui constitue l’alimentation, de nouvelles temporalités aussi, le Design & Culinaire ne peut ignorer la question des effets de sa pratique, voire des impacts de ce qu’il produit, et parfois, fait consommer. La dernière partie s’intéresse ainsi aux manières de faire table autrement pour demain, dans une approche prospectiviste tout en interrogeant une pensée d’un « juste avenir ». Elle invite à cheminer vers la proposition d’un renouvellement de la relation que nous portons au monde.
À propos des directeurs de publication :
Acheter Design & Culinaire, une culture en mouvement en ligne
Quatre anciens étudiant.e.s de l’ÉSAD témoignent de leur parcours professionnel.
Une matinée d’échanges éclairante pour nos étudiant.e.s…
Avec Victor Bois, Corentin Loubet, Aline Riehl et Thomas Schmahl.
L’École Supérieure d’Art et de Design (ÉSAD) de Reims – avec les soutiens de la Ville de Reims, du Grand Reims, de la Région Grand Est et du ministère de la Culture, et en partenariat avec La Fileuse, friche artistique de la Ville de Reims – présente « Tous corps d’états », l’exposition des diplomé·e·s du master Art 2022, à La Fileuse, du 18 au 28 octobre 2022.
Le prix Prisme, 9e édition, sera remis à l’un.e des étudiant.e.s lors du vernissage de cette exposition auquel notre établissement a le plaisir de vous convier. Un rendez-vous culturel incontournable pour la ville de Reims et sa jeune création contemporaine !
En accès libre et gratuit pour tous les publics.
Les diplômé.e.s :
Samuel ALLOUCHE
Lucie BAZIN
Charly BECHAIMONT
Clara DAUMARS
Cécile DIEUDONNÉ
Aurélie JOUANEN
Olivia TALLEUX
Julien VALLÉE
Durant ces journées d’étude, il vous est proposé de découvrir le dynamisme de la filière du chanvre à l’échelle d’une région, le Grand Est. À la fois territoire d’initiatives agricoles, de projets productifs et d’innovations en recherche et développement, le Grand Est concentre un vivier et une diversité d’acteurs et de structures engagés dans la filière du chanvre. Ce sont ces acteurs et ces structures que ces journées réunissent aujourd’hui.
Un premier temps d’échange permettra de « penser » certains verrous qui peuvent ou ont pu freiner le développement de la filière. Ce premier volet mettra également l’accent sur des collaborations nouvelles et structurantes, capables de faire évoluer le territoire, voire de le positionner comme pierre angulaire des transitions écologiques et sociales. Un second temps abordera la part active que jouent la recherche et la formation dans cette dynamique territoriale, qui doit être encore renforcée.
L’enjeu de ces journées est de prolonger la réflexion menée autour du chanvre, de cerner les effets des projets et initiatives développés à l’échelle d’une région, de saisir l’importance d’une construction collective et co-portée, enfin d’ouvrir des perspectives…
Programmée chaque année, à la rentrée de septembre, Design’R est l’exposition des projets des diplômé.e.s des masters Design de l’ÉSAD de Reims. L’un des temps forts de l’établissement !
Vous découvrirez 18 démarches originales qui questionnent, suscitent l’imagination et réveillent l’esprit de poésie, tout en conjuguant humour et réflexion critique.
Vernissage vendredi 16 septembre au Cellier, 4 bis rue de Mars, à partir de 18h30
Les diplômé.e.s :
Design objet & espace
Lucie BOREL
Justine DUCHÈNE
Virgil EL HADEUF
Stanislas FRADIN
Tamar GOURMAUD
Chloé MORENO
Jeanne VENTURA
Emma WATTIAU
Design graphique & numérique
Guillaume ANDRES
Amélie BLACHÈRE
Grégoire GAMICHON
Laurie PAOLIN
Hoyam MRAIZIKA
Antoine SIGUR
Design & culinaire
Bérangère BRAULT
Capucine BRICE
Chloé CHEVRON
Emma VERGNE
« Corps connectés. figures, fragments, discours », sous la direction d’Armen Khatchatourov, Olaf Avenati, Pierre-Antoine Chardel et Isabelle Queval vient de paraître aux Presses des Mines.
L’ouvrage :
« Nos corps sont désormais inscrits dans les flux de données. Nos nouvelles expériences sensorielles, de déplacement ou d’être ensemble sont amplement modifiées à l’ère de l’hyper-connexion et du Big Data. Mais comment cette nouvelle manière d’envisager nos corps (de notre corps propre au corps social) se traduit-elle ? Quel impact cette condition numérique a-t-elle sur nos vies ? C’est à ces questions que le présent ouvrage s’intéresse, au fil des contributions issues de domaines variés, tels que l’art, le design, la philosophie, la sociologie ou la psychologie, en ouvrant des voies d’analyse aussi hétérogènes que complémentaires. Il s’agit par-là d’ouvrir de nouvelles pistes de réflexion critique, herméneutique et sociétale sur la manière dont nos subjectivités sont affectées par la mise en données de nos corps.»
Visuel: Discontrol Party #3. Dispositif festif interactif, 2009-2018, conçu et réalisé sous la direction de Samuel Bianchini. micadanses, Paris, février 2018. Photo : © Alain Declercq
À propos des auteurs :
Contributions :
Serge Tisseron, Olivain Porry, Samuel Bianchini, Florent Levillain, Hélène Jeannin, Jacques Athanase Gilbert, Laurent Bonnotte, Franck Cormerais, Béatrice Lartigue, Béa Arruabarrena, Olivier Peyricot, Marine Rellinger, Thierry Vila et Bernard Stiegler.
Acheter Corps Connectés en ligne
Faut-il savoir dessiner pour entrer à l’ÉSAD de Reims ? Comment devient-on designer ? Qu’est-ce que le Design & Culinaire ? Comment se déroule le cursus? À quels diplômes prépare l’école ? Quels débouchés après l’ÉSAD de Reims ? Autant de questions auxquelles vous trouverez réponses en participant à notre Journée Portes Ouvertes le samedi 22 janvier 2022 de 10h à 18h !
De l’art et du design à tous les étages ! Visite en accès libre dans les salles et les ateliers (bois, métal, céramique, prototypage, studio photo, etc.) pour découvrir les travaux des étudiant.e.s, de la première année aux années master. À cette occasion, vous pourrez rencontrer et échanger avec les étudiant.e.s et leurs enseignant.e.s (artistes, designers et théoricien.ne.s). Toutes les disciplines enseignées à l’école seront représentées : l’Art, le Design & Culinaire, le Design graphique & numérique, et le Design objet & espace.
Conférences ! Des présentations du cursus et de la formation seront ouvertes au public sous forme de conférences données par les enseignant.e.s. Mais aussi des séances d’information sur les conditions et modalités d’accès au concours, ainsi que sur les commissions d’équivalence pour une entrée en 2e ou 4e année.
10h30 → Présentation de la 1ère année, et des conditions et modalités d’entrée à l’ÉSAD de Reims
11h30 → Présentation des masters
14h15 → Présentation de la 1ère année, et des conditions et modalités d’entrée à l’ÉSAD de Reims
15h30 → Présentation des masters
16h15 → Présentation de la 1ère année, et des conditions et modalités d’entrée à l’ÉSAD de Reims
Passionné.e.s d’art et de design, rendez-vous le samedi 22 janvier 2022 au 12 rue Libergier (51 100 Reims) !
Pour consulter la FAQ de l’ÉSAD de Reims, cliquez ici
Nous avons le plaisir de vous dévoiler la nouvelle identité visuelle de l’ÉSAD de Reims.
Nouveau logo, nouvelle typo et nouvelles couleurs !
Un logo lisible et dynamique
Ce logo, qui reprend le nom de l’école inscrit en toutes lettres, témoigne de son appartenance au réseau national des écoles supérieures d’art et de design. La typographie variable permet des jeux typographiques et une version animée du logo.
Une typo unique et originale
La Ruda est une typographie contemporaine sans empattements.
Son dessin se distingue des typographies linéales classiques par des subtilités qui viennent briser la monotonie des lettres en y apportant rondeur, générosité et une pointe d’excentricité.
Une palette de 4 couleurs jeunes et fraîches
Ces 4 couleurs vives – bleu, vert, orange et rose – créent une gamme fraîche et dynamique. L’utilisation de couleurs dans l’identité de l’école apporte jeunesse et vivacité à son caractère institutionnel.
Un principe photographique
L’assemblage de photographies fait partie intégrante de la nouvelle charte graphique. Il donne à voir aux publics les productions des étudiant.e.s, met en avant l’ouverture de l’école et sa capacité à faire dialoguer ses différentes sections par des associations visuelles singulières.
Pour vous donner une idée plus concrète de cette nouvelle identité visuelle, nous vous présentons en avant première l’affiche de l’exposition Design’R, exposition des diplômé.e.s des masters Design, qui aura lieu du 17 septembre au 17 octobre 2021.
Cette nouvelle identité visuelle a été réalisée par le Studio Muro. Fondé en 2018, ce studio de design graphique et de direction artistique est composé de Claire Mucchielli et Camille Rodrigues, deux anciennes étudiantes de l’ÉSAD de Reims.
Durée : 1 an (1 semestre académique + 1 semestre de stage)
Précédemment connu sous l’acronyme Id-DIM (Inventivités Digitales. Designer, Ingénieur, Manager), IDEE est un programme de formation inter-écoles co-créé par l’ÉSAD de Reims, l’Institut Mines-Télécom Business School & Télécom SudParis / IMT, en partenariat avec Le Cube et SIANA. Le programme réunit des designers, des ingénieurs et des managers en équipes. Ce programme s’inscrit dans le cadre de la Chaire “Inventivité Digitale”, première chaire d’enseignement dédiée à la créativité numérique, portée par l’Institut Mines-Télécom Business School, en partenariat avec Télécom SudParis et l’ÉSAD de Reims, et soutenue par Davidson Consulting, SIANA, Le Cube et la Fondation Mines-Télécom.
Les personnes suivantes peuvent postuler :
Le premier semestre est organisé en 4 UE (unités d’enseignement)
Les étudiant.e.s créent en équipe un projet écologiquement et socialement responsable. L’accent est mis sur la co-création, l’éthique, l’efficacité des méthodes et technologies utilisées, et l’attention portée au contexte et aux bénéficiaires du projet. Une série de cours accompagne la pratique du projet : anthropologie des usages, pratiques et méthodes de prototypage, gestion éthique et responsable des projets, technocritique, IA, data, etc. Des rencontres avec des professionnels du numérique sont proposées, des grandes entreprises aux tiers lieux. Le semestre se termine par une présentation publique au Cube, centre d’art numérique.
Le deuxième semestre d’immersion professionnelle est consacré à un stage en entreprise et à la rédaction d’un mémoire.
Lié au projet professionnel de chaque participant·e·s, le stage se déroule dans l’entreprise ou l’organisation de son choix, avec la validation des tuteur·rice·s de la formation. Les réseaux d’entreprises partenaires des 3 écoles fondatrices du programme sont accessibles à tou·te·s. Rédigé pendant la période de stage, le mémoire est destiné à approfondir une question. Il fait l’objet d’un encadrement méthodologique.
La formation IDEE — Innovation, Design et Entrepreneuriat engagé, réunit des designer·euse·s, des ingénieur·e·s et des manager·euse·s concerné·e·s par les dimensions éthique et responsable de l’innovation, pour questionner les nouvelles technologies à l’aune des nécessaires transformations de nos façons d’habiter le monde. Ces questions contemporaines étant par nature complexes, elles engagent un mode de travail collectif, interdisciplinaire et inventif, à même de repenser et de déplacer nos modes de faire et de nous permettre de repositionner nos façons de pratiquer nos métiers, en cohérence avec le monde contemporain. C’est pourquoi la formation IDEE accentue ce positionnement en 2023-2024.
La formation est multi-écoles et ouverte aux différents profils suivants dans la limite de 18 étudiants :
La formation est multi-écoles et ouverte aux profils suivants :
Pour une entrée en 2025-2026
La date limite pour candidater est le 05/09/2025.
1/ Complétez le formulaire de préinscription
https://ganesh.esaddereims.fr/selection?sp=9&cs=2|19
3/ Réglez le montant de pré-inscription
55 €
Dès les 3 éléments reçus, votre dossier est vu par une commission et en cas de présélection vous êtes recontacté·e pour un entretien.
4/ Entretien de sélection finale
En cas de pré-sélection, vous êtes invité·e à participer à une session d’entretien en visio-conférence. L’entretien dure une vingtaine de minutes durant lesquelles vous exposez votre parcours et votre motivation à participer au programme dans le cadre d’une discussion avec un jury.
5/ En cas de sélection, votre inscription est confirmée après ouverture de votre dossier de scolarité et acquittement de vos frais d’inscription.
POST-DIPLOME IDEE présentation de la formation
2018/2019 retour sur les projets de la première promo